Durant trois jours, le village Norino à Macouria, en bordure du CD5, a ouvert ses carbets aux visiteurs. L’occasion de découvrir ou redécouvrir la culture des amérindiens palikur et plus particulièrement le savoir-faire des femmes.
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Le village Norino de Macouria sous un soleil de plomb pour la seconde édition du week end des femmes Parikwanoh. Vannerie et bijoux colorés, peintures corporelles, poterie, fabrication du couac, poterie, gastronomie, jeux traditionnels. Pendant trois jours petits et grands ont profité de la manifestation, un enrichissement culturel source d’émerveillement.
Un moment de rencontre voulu et organisé par les femmes palikur. Certaines sont venues de loin, comme Markilène, originaire de Saint-Georges et représentante de l’association Matap. La jeune femme grille le couac sur une grande platine devant les yeux de jeunes curieux ébahis.
A travers cette opération le village Norino montre qu’il n’est pas nécessaire d’attendre la journée internationale des droits de la femmes pour mettre ces dernières à l’honneur.
L'année prochaine, le village fêtera ses 15 ans d'existence, les habitants se penchent déjà sur le programme.