Miremonde est de retour au pays. Entre prestations, ateliers d’écriture ou de théâtre, la slameuse qui ne cesse de se réinventer a un seul but, arriver à vivre de sa passion et la transmettre au plus grand nombre. En show case à Rémire-Montjoly, elle a fait quelques confidences à notre reporter.
Chez elle à Saint-Laurent du Maroni, la « Slameuse » Miremonde, répète l’un de ses textes avec son ami Aymerick Létard, un pianiste qu fait lui aussi son chemin. L’artiste se produit en spectacle pour présenter son premier single "Mire le Monde" le fruit d’une année de travail assidu et l'aboutissement d'une passion qui dure depuis l'âge de 16 ans.
La jeune femme s'est fait connaître de tous en 2017 durant le grand mouvement social de mars et avril 2017 avec son slam "Nou bon ké sa".
Bien entourée, la slameuse veut franchir une étape et laisser une trace de sa passion qui l’anime depuis ses débuts. Mais elle veut aussi, professionnaliser son art. Perfectionniste, avec plusieurs cordes à son arc, Miremonde poursuit ce qu’elle aime en s’entourant de ses amis musiciens, et de son compagnon.
Le reportage de Guyane la 1ère
La jeune femme s'est fait connaître de tous en 2017 durant le grand mouvement social de mars et avril 2017 avec son slam "Nou bon ké sa".
Bien entourée, la slameuse veut franchir une étape et laisser une trace de sa passion qui l’anime depuis ses débuts. Mais elle veut aussi, professionnaliser son art. Perfectionniste, avec plusieurs cordes à son arc, Miremonde poursuit ce qu’elle aime en s’entourant de ses amis musiciens, et de son compagnon.
"Ce qui me maintient aujourd'hui à travers le slam, c'est vraiment que je me sens animée. Je ressens un besoin viscéral d'écrire, puis de déclamer, de partager et d'échanger. J'éprouve ce besoin de la scène tous les jours... même si je rencontre des difficultés, je n'ai pas envie de m'arrêter..."
Le reportage de Guyane la 1ère