L’auditorium de la cChambre des commerce de Guyane a fait salle comble ce vendredi 3 mars. La conférence du "Mouvement pour un destin commun" abordait les prises en charge des morsures de serpents. Médecine occidentale et médecine traditionnelle ont pu faire état de leurs connaissances.
Ce vendredi 3 mars 2017 a eu lieu lieu à l’auditorium de la chambre des commerces de Guyane une conférence du "Mouvement pour un destin commun" qui abordait les prises en charge des morsures de serpents.
Après la présentation des serpents, des différents types de venins, de leurs complexités et de la difficulté à élaborer un sérum, l’audience attentive et avide de réponses n’attendait que les recommandations des tradipraticiens. Malheureusement les guérisseurs amérindiens n’ont rien divulgué de leur savoir, probablement par crainte des mauvais usages. Par contre ils ont dit être à la disposition de la population.
Durant toute la journée de débat, la médecine occidentale et la médecine traditionnelle ont fait état de leurs connaissances. En accord mais aussi en désaccord, les différents spécialistes ont pu démontrer que les solutions viendraient par l’échange des savoirs.
Il appartient désormais aux politiques de mettre en œuvre ces échanges aussi bien entre les différentes pratiques médicinales que les différents savoirs de la région sud-américaine.
Le reportage de Clotilde Séraphins et Nicolas Pouillot
Après la présentation des serpents, des différents types de venins, de leurs complexités et de la difficulté à élaborer un sérum, l’audience attentive et avide de réponses n’attendait que les recommandations des tradipraticiens. Malheureusement les guérisseurs amérindiens n’ont rien divulgué de leur savoir, probablement par crainte des mauvais usages. Par contre ils ont dit être à la disposition de la population.
Durant toute la journée de débat, la médecine occidentale et la médecine traditionnelle ont fait état de leurs connaissances. En accord mais aussi en désaccord, les différents spécialistes ont pu démontrer que les solutions viendraient par l’échange des savoirs.
Il appartient désormais aux politiques de mettre en œuvre ces échanges aussi bien entre les différentes pratiques médicinales que les différents savoirs de la région sud-américaine.
Le reportage de Clotilde Séraphins et Nicolas Pouillot