Le ralentissement de l’activité économique fait craindre la fermeture aux petites entreprises. C’est ce qui ressort de l’étude diligentée par la Chambre de Métiers et de l'Artisanat. Une enquête adressée à une trentaine de professionnels et qui témoignent des difficultés des entrepreneurs.
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Entre maintien de la trésorerie et réorganisation du temps de travail, dans leur immense majorité, les petits patrons peinent à faire face à la crise sanitaire. Raréfaction de la clientèle, suspension des commandes ou rupture de la chaîne d’approvisionnement, les effets indésirables de la crise du Covid-19 s’accumulent pour les patrons de TPE/PME.
Parmi les secteurs les plus touchés, le bâtiments et les services pour qui le confinement est souvent synonyme d’arrêt complet de l’activité.
Selon cette étude, 3 chefs d’entreprises sur 4 déclarent recourir au chômage partiel contre seulement un sur trois pour le télétravail.
Dans les sociétés où l’activité se maintient tant bien que mal, l’enquête atteste de la mise en place de mesures de protections des salariés : démarchage téléphonique, désinfection des locaux, ou encore vente en ligne.
Néanmoins, face au marasme économique les perspectives restent sombres : 15 % des employeurs envisagent déjà des licenciements, et ils sont une majorité, 60% à annoncer des problèmes de trésorerie pour le mois à venir.
Notez enfin qu’une seule branche semble échapper, à la crise, le secteur alimentaire où aucun répondant ne s’est fait l’écho de difficultés.
Seul le secteur alimentaire semble résister
Parmi les secteurs les plus touchés, le bâtiments et les services pour qui le confinement est souvent synonyme d’arrêt complet de l’activité.Selon cette étude, 3 chefs d’entreprises sur 4 déclarent recourir au chômage partiel contre seulement un sur trois pour le télétravail.
Dans les sociétés où l’activité se maintient tant bien que mal, l’enquête atteste de la mise en place de mesures de protections des salariés : démarchage téléphonique, désinfection des locaux, ou encore vente en ligne.
Néanmoins, face au marasme économique les perspectives restent sombres : 15 % des employeurs envisagent déjà des licenciements, et ils sont une majorité, 60% à annoncer des problèmes de trésorerie pour le mois à venir.
Notez enfin qu’une seule branche semble échapper, à la crise, le secteur alimentaire où aucun répondant ne s’est fait l’écho de difficultés.