La maison de santé du bourg de Matoury s'appuyait initialement sur un projet de santé « Autour des maladies métaboliques » et un 2ème projet a vu le jour sur la santé de la femme et la périnatalité. Ce qui a conduit au programme "Allez les filles !" à destination de femmes en situation précaire.
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C’est devenu le rendez-vous de cette année, Rosa-Maria, Gladys, Sylvia et d’autres se retrouvent chaque mardi matin à la Maison de la Santé. Elles y viennent si elles le souhaitent, pour une parenthèse dans leur quotidien souvent difficile pour de multiples raisons. En l'occurence, une parenthèse sportive d’une heure à titre gratieux dans le cadre du programme « Allez les filles !! » porté par le professeur de Pilates, Sophie Berthiot.
Dans cette pièce, ces femmes isolées, en précarité, lâchent les tensions emmagasinées dans leur quotidien, reprennent confiance en elles, prennent conscience de leur corps, réapprennent à synchroniser leurs mouvements, à regarder l’autre en face, à respirer en conscience. C’est du sport et bien plus comme l'expriment Rosa ou encore Sahida. Une renaissance même pour certaines.
Financé par la Fondation de France, le projet s’applique à un public féminin âgé entre 15 et 25 ans mais en Guyane, il s’ouvre à toutes et veut séduire surtout les jeunes.
Il s’inscrit dans le projet de santé de la maison de santé du bourg de de Matoury sur les maladies métaboliques. Il constitue un moment d’échanges et de solidarité cher au professeur Sophie Berthiot :
Le reportage de Guyane la 1ère
Dans cette pièce, ces femmes isolées, en précarité, lâchent les tensions emmagasinées dans leur quotidien, reprennent confiance en elles, prennent conscience de leur corps, réapprennent à synchroniser leurs mouvements, à regarder l’autre en face, à respirer en conscience. C’est du sport et bien plus comme l'expriment Rosa ou encore Sahida. Une renaissance même pour certaines.
Financé par la Fondation de France, le projet s’applique à un public féminin âgé entre 15 et 25 ans mais en Guyane, il s’ouvre à toutes et veut séduire surtout les jeunes.
Il s’inscrit dans le projet de santé de la maison de santé du bourg de de Matoury sur les maladies métaboliques. Il constitue un moment d’échanges et de solidarité cher au professeur Sophie Berthiot :
Aussi positif soit-il, le projet dont une 2ème antenne essaie d’exister à Cogneau, pourrait s’arrêter là, après seulement un an d’existence. Son avenir est en effet suspendu au soutien de partenaires. C’est la condition posée par la Fondation de France qui assure la majeure partie du financement." Se sont- elles qui élèvent les enfants, si elles sont bien, si elles ont moins de stress, si elles arrivent à mieux exprimer leurs émotions, il va y avoir un impact immense sur la société. Donc c'est faire notre part pour accompagner ces femmes qui ont des vies rudes, leur trouver une petite bulle zen où elles peuvent se sentir en sécurité et se découvrir..."
Le reportage de Guyane la 1ère