Un deuxième mandat pour Elidia Alcide Dit Clauzel à la tête de la ligue de tennis de table de Guyane. Elue une 1ère fois en novembre 2019, après la défection de de Charles Francinet et 6 autres membres de son équipe, elle a bouclé un mandat d’un an avec une saison stoppée par la crise sanitaire.
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Un deuxième mandat pour Elidia Alcide Dit Clauzel à la tête de la ligue de tennis de table de Guyane. Elue une première fois en novembre 2019, suite à la défection de de Charles FRrancinet et six autres membres de son équipe, elle a bouclé un mandat d’un an avec une saison stoppée par la crise sanitaire. Ce dimanche 18 octobre, au hall municipal de tennis de table à Cayenne, Elidia Alcide Dit Clauzel a été réélue sans réelle opposition. Après les crises et les remous, la ligue de tennis de table de Guyane se doit de rebondir pour développer un sport qui aujourd’hui ne fédère que 117 licenciés et 4 clubs.
Un climat apaisé même si les discussions restent vives entre les clubs pongistes de Cayenne, Matoury, Rémire et Saint-Laurent. Les membres de la ligue de tennis de table veulent relancer la discipline sur tout le territoire. Cela sera le grand chantier du mandat de la nouvelle présidente, réélue avec la majorité de son équipe.
Sans oublier l’ouest avec Apatou et Mana. Un développement qui passe surtout par l’adhésion des jeunes. Une catégorie de joueurs aujourd’hui en déficit, en particulier en compétition. Pour recruter, la ligue de tennis de table de Guyane compte investir les établissements scolaires et s’appuyer sur l’expérience du conseiller technique national.
Autres chevaux de bataille, la formation des cadres et la reprise des compétitions. Sans oublier les infrastructures jugées insuffisantes. Aujourd’hui, seuls les clubs de Cayenne et Rémire disposent d’un hall adapté.
Après une saison 2019/2020 tronquée par la crise, les membres de la ligue espèrent reprendre les compétitions et le championnat de Guyane d’ici quelques semaines. Dans le viseur des pongistes guyanais : le Championnat Antilles-Guyane en avril en Martinique.
Une volonté de relancer la discipline sur tout le territoire
Un climat apaisé même si les discussions restent vives entre les clubs pongistes de Cayenne, Matoury, Rémire et Saint-Laurent. Les membres de la ligue de tennis de table veulent relancer la discipline sur tout le territoire. Cela sera le grand chantier du mandat de la nouvelle présidente, réélue avec la majorité de son équipe.« Dans le cadre du développement, nous espérons atteindre Macouria, Montsinnery. On a déjà des contacts. »
Sans oublier l’ouest avec Apatou et Mana. Un développement qui passe surtout par l’adhésion des jeunes. Une catégorie de joueurs aujourd’hui en déficit, en particulier en compétition. Pour recruter, la ligue de tennis de table de Guyane compte investir les établissements scolaires et s’appuyer sur l’expérience du conseiller technique national.
« Nous allons accueillir le CTN qui viendra début novembre. Et normalement, on devrait pouvoir signer des conventions avec le rectorat et d’autres partenaires institutionnels»
Autres chevaux de bataille, la formation des cadres et la reprise des compétitions. Sans oublier les infrastructures jugées insuffisantes. Aujourd’hui, seuls les clubs de Cayenne et Rémire disposent d’un hall adapté.
«Matoury et Saint-Laurent et à Matoury ils sont dans les écoles comme toutes les autres disciplines et on espère vraiment qu’ils puissent avoir un hall dédié. »
Après une saison 2019/2020 tronquée par la crise, les membres de la ligue espèrent reprendre les compétitions et le championnat de Guyane d’ici quelques semaines. Dans le viseur des pongistes guyanais : le Championnat Antilles-Guyane en avril en Martinique.