Après plus de deux semaines de mobilisation et de grève générale, l'économie locale est affaiblie et cela impacte directement les petites et moyennes entreprises partout en Guyane. A Saint-Laurent, les chefs d'entreprise avouent que leur situation est difficile
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A Saint-Laurent du Maroni, six barrages sont toujours en place en centre-ville. De nombreux entrepreneurs et commerçants ont fermé les premiers jours de la mobilisation en soutien à la grogne générale mais ont depuis ouvert à nouveau pour ne pas mettre la clé sous la porte. Et pourtant, avec les barrages et une vie au ralenti, les clients ne sont pas au rendez-vous et certains sont dans l’obligation de continuer à payer leurs salariés.
Telle cette libraiirie papéterie du centre-ville dont les portes sont restées fermées pendant 3 jours la demaine dernière. Elle fonctionne depuis lundi mais les clients sont rares. Le gérant a du mettre quelques uns des 7 salariés au chômage partiel.Il ne faudrait pas que la situation s'éternise car inévitablement, les salariés ne pourraient être payés.
NIcolas Vial a une petite entreprise de plomberie, il ne travaille pratiquement pas depuis le début des barrages, il manque de matériel et cela est aussi le cas pour d'autres entreprises dans l'ouest guyanais.
Le reportage d'Alice Lauréat
Telle cette libraiirie papéterie du centre-ville dont les portes sont restées fermées pendant 3 jours la demaine dernière. Elle fonctionne depuis lundi mais les clients sont rares. Le gérant a du mettre quelques uns des 7 salariés au chômage partiel.Il ne faudrait pas que la situation s'éternise car inévitablement, les salariés ne pourraient être payés.
NIcolas Vial a une petite entreprise de plomberie, il ne travaille pratiquement pas depuis le début des barrages, il manque de matériel et cela est aussi le cas pour d'autres entreprises dans l'ouest guyanais.
Le reportage d'Alice Lauréat