La liste sortante de la chambre de commerce et d’industrie de la Guyane annonce son intention de faire appel de la décision d’annulation du scrutin du mois de novembre par le tribunal administratif et souhaite poursuivre ses opposants.
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Richard Gabriel et ses colistiers ont voulu faire passer un message à la liste adverse conduite par Jean-Luc Davidas : le bureau en place continue à fonctionner.
Malgré l’annulation du scrutin à la chambre de commerce et d’industrie de la Guyane le 12 janvier dernier par le tribunal de commerce, l’équipe investie reste en place jusqu’à ce que toutes les voies de recours aient été usées. Richard Gabriel va en effet faire appel de la décision.
L’équipe sortante fait état d’échanges fructueux avec les services préfectoraux pour faire la lumière sur les incidents liés au vote par correspondances. 1.053 enveloppes portant la mention « n’habite pas à cette adresse » avaient été renvoyées à la Préfecture.
Richard Gabriel et ses proches se montrent confiants, prêts, si cela est nécessaire, à rejouer l’élection. Le groupe majoritaire est surtout irrité par l’action intentée par la liste adversaire contre qui il a l’intention de porter plainte. Le message est clair : la CCIG est en ordre de marche, elle ne sera pas empêchée dans son fonctionnement par de « mauvais perdants ».
Malgré l’annulation du scrutin à la chambre de commerce et d’industrie de la Guyane le 12 janvier dernier par le tribunal de commerce, l’équipe investie reste en place jusqu’à ce que toutes les voies de recours aient été usées. Richard Gabriel va en effet faire appel de la décision.
L’équipe sortante fait état d’échanges fructueux avec les services préfectoraux pour faire la lumière sur les incidents liés au vote par correspondances. 1.053 enveloppes portant la mention « n’habite pas à cette adresse » avaient été renvoyées à la Préfecture.
Richard Gabriel et ses proches se montrent confiants, prêts, si cela est nécessaire, à rejouer l’élection. Le groupe majoritaire est surtout irrité par l’action intentée par la liste adversaire contre qui il a l’intention de porter plainte. Le message est clair : la CCIG est en ordre de marche, elle ne sera pas empêchée dans son fonctionnement par de « mauvais perdants ».