L’expédition scientifique organisée par l’organisation non gouvernementale internationale (ONGI) Greenpeace s'arrête en Guyane. Une expédition d’ampleur partie de l’Arctique afin de mettre en lumière les menaces qui pèsent sur les océans.
L’expédition scientifique organisée par l’organisation non gouvernementale internationale (ONGI) Greenpeace s'arrête en Guyane. Une expédition d’ampleur partie de l’Arctique afin de mettre en lumière les menaces qui pèsent sur les océans.
15 espèces de cétacés dont des baleines et des dauphins, 14 espèces d’oiseaux marins observés au niveau du talus continental situé entre 70km et 100 km de nos côtes, les équipes de Greenpeace et 5
scientifiques du CNRS, du GEPOG et de l’association Evasion Tropicale composent cette expédition avec en toile de fond la menace qui pèse sur les océans, la découverte de la mégafaune, et le traité mondial pour les océans qui se négocie en ce moment aux Nations Unies. Un traité dont l’objectif est de préserver le milieu marin et réguler les activités en haute mer …
Edina Ifticene chargée de campagne Océan et pétrole à Greenpeace France précise :
Le chargé de campagne climat et énergie de Greenpeace Brésil participe à l’expédition. Son inquiétude : la compagnie pétrolière britannique BP qui souhaite explorer la partie brésilienne du Recife de l’Amazone qui s’étend sur nos deux territoires. Autre menace pour Thiago Almeida la prochaine vente de concessions d’exploration dans les régions de l’Amapa et du Para.
Thiago Almeida chargé de campagne climat et énergie de Greenpeace Brésil explique :
Chercheurs et plongeurs vont de nouveau embarquer à bord du navire Esperenza appartenant à Greenpeace pour la seconde phase de l’expédition. Quinze jours dans les eaux guyanaises. A l’issue desquels commenceront des travaux d’analyses scientifiques qui permettront de comprendre le Recife de l’Amazone encore inconnu en 2016.
Une expédition scientifique
15 espèces de cétacés dont des baleines et des dauphins, 14 espèces d’oiseaux marins observés au niveau du talus continental situé entre 70km et 100 km de nos côtes, les équipes de Greenpeace et 5scientifiques du CNRS, du GEPOG et de l’association Evasion Tropicale composent cette expédition avec en toile de fond la menace qui pèse sur les océans, la découverte de la mégafaune, et le traité mondial pour les océans qui se négocie en ce moment aux Nations Unies. Un traité dont l’objectif est de préserver le milieu marin et réguler les activités en haute mer …
Edina Ifticene chargée de campagne Océan et pétrole à Greenpeace France précise :
"On avait la volonté d'informer le grand public sur ce traité. On a commencé par l'Artique. Aujourd'hui nous sommes arrivés en Guyane."
Les menaces pèsent sur le Brésil
Le chargé de campagne climat et énergie de Greenpeace Brésil participe à l’expédition. Son inquiétude : la compagnie pétrolière britannique BP qui souhaite explorer la partie brésilienne du Recife de l’Amazone qui s’étend sur nos deux territoires. Autre menace pour Thiago Almeida la prochaine vente de concessions d’exploration dans les régions de l’Amapa et du Para.Thiago Almeida chargé de campagne climat et énergie de Greenpeace Brésil explique :
"Il est important de savoir que la menace est encore plus forte aujourd'hui. Le gouvernement brésilien veut accorder 237 permis d'exploration dans la région."
Chercheurs et plongeurs vont de nouveau embarquer à bord du navire Esperenza appartenant à Greenpeace pour la seconde phase de l’expédition. Quinze jours dans les eaux guyanaises. A l’issue desquels commenceront des travaux d’analyses scientifiques qui permettront de comprendre le Recife de l’Amazone encore inconnu en 2016.