La vente d'artifices dangereux et de calibre important aété interdite par arrêté préfectoral. Les commerçants, habitués à ces réglementations en fournissent de moins en moins. Depuis l'arrêté, les gendarmes multiplient les contrôles, à la recherche de ces pétards, particulièrement dangereux.
A Saint-Laurent du Maroni, il est aujourd'hui pratiquement impossible de trouver dans un commerce des pétards de catégorie K et C, catégories interdites à la vente. La multiplication d'arrêtés préfectoraux interdisant la commercialisation de ces artifices dangereux semble enfin porter des fruits.
Cela fait maintenant dix ans qu'à Saint-Laurent la vente des pétards dit dangereux est interdite. Il n'y a plus de commerçant qui se risque à en vendre, même sous le manteau. C'est la raison pour laquelle des contrôles de gendarmerie sont organisés auprès des particuliers afin de dissuader la population d'en acheter directement à Albina au Suriname. Ces opérations spéciales pétards auront lieu jusqu’au 1er mars prochain, date de la fin de l’arrêté.
Le reportage d’Alice Lauréat et Yves Robin
Cela fait maintenant dix ans qu'à Saint-Laurent la vente des pétards dit dangereux est interdite. Il n'y a plus de commerçant qui se risque à en vendre, même sous le manteau. C'est la raison pour laquelle des contrôles de gendarmerie sont organisés auprès des particuliers afin de dissuader la population d'en acheter directement à Albina au Suriname. Ces opérations spéciales pétards auront lieu jusqu’au 1er mars prochain, date de la fin de l’arrêté.
Le reportage d’Alice Lauréat et Yves Robin