La deuxième journée du FIFAC s'est étendue en dehors des murs du camp de la Transportation. Le festival a apporté une partie de sa programmation au village chinois de Saint-Laurent-du-Maroni. Les habitants ont pu profiter de la projection de deux films.
•
La deuxième journée du FiFAC s’est étendue en dehors des murs du camp de la Transportation. Le festival a apporté une partie de sa programmation dans le quartier populaire du Village Chinois de Saint-Laurent-du-Maroni et plus particulièrement dans le carbet des associations. Les habitants ont pu profiter de la projection de deux films en compagnie des protagonistes mais aussi des réalisateurs.
Alors que le marché aux poissons du Village Chinois a vidé ses étals, le carbet des associations lui se remplit. Une quarantaine de spectateurs prennent place dans une salle de projection improvisée. A l’affiche deux films de la programmation du FIFAC. La web série "Guyane underground", une web série qui dresse le portrait de Guyanais. L’autre film documentaire était présenté "Riddim", le oparcours d'un danseur contemporain guyanais. L’occasion pour les protagonistes de se mettre dans la peau d’un acteur mais aussi d’aller à la rencontre du public.
Amener le festival dans le village chinois est une occasion pour le carbet des associations de proposer aux habitants la découverte de documentaires.
Le reportage de Pierre Tréfoux et Karl Constable :
Projection improvisée
Alors que le marché aux poissons du Village Chinois a vidé ses étals, le carbet des associations lui se remplit. Une quarantaine de spectateurs prennent place dans une salle de projection improvisée. A l’affiche deux films de la programmation du FIFAC. La web série "Guyane underground", une web série qui dresse le portrait de Guyanais. L’autre film documentaire était présenté "Riddim", le oparcours d'un danseur contemporain guyanais. L’occasion pour les protagonistes de se mettre dans la peau d’un acteur mais aussi d’aller à la rencontre du public.Amener le festival dans le village chinois est une occasion pour le carbet des associations de proposer aux habitants la découverte de documentaires.
Et pour le public c’est l’occasion de découvrir le parcours de plusieurs Guyanais. Le FIFAC a dépassé les murs du camp de la Transportation pour diffuser au maximum les documentaires de sa seconde édition, même dans les quartiers les plus populaires de la capitale de l’Ouest."Le documentaire c'est une fenêtre sur le monde. On arrive ici et c'est un changement ! Les gens ont plutôt tendance à regarder des séries et du foot, là c'est vraiment pointu. Cela crée une autre relation à l'image."
Le reportage de Pierre Tréfoux et Karl Constable :