Sur le tour de Guyane, il n'y a pas que des coureurs. Les supporters jouent également un grand rôle. Ginette Prissaint, responsable du club des supporters de la Croix du Sud s’apprête à vivre pour la 6ème fois, cette 27ème édition du tour de Guyane. Elle sera au plus près des athlètes.
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Elle ne court pas, mais elle vit le tour à 100 %. Ginette Prissaint, allias Gigi, attend avec impatience le départ des coureurs. « Ce que j’aime c’est l’ambiance qu’il y a autour des arrivées. C’est l’ambiance, c’est l’engouement », s’enthousiasme-t-elle. « Même si on ne participe pas à la course, avec l’ambiance de fête qu’il y a autour, on y participe à sa manière » dit-elle.
Le cyclisme, est une passion familiale chez les Prissaint. Son frère est le président du club de la Croix du Sud. Pourtant, hors de question pour elle, de pratiquer ce sport. « Le vélo, c’est le dernier sport que je pratiquerais (rires). Quand je vois les kilomètres à avaler, parfois dans des conditions atmosphériques compliquées, je n’ai pas envie d’être à la place des coureurs », explique-t-elle.
Le club de supporters participe également à la vie de l’équipe « Durant la compétition, on s’occupe de la logistique, on prépare notamment les repas pour l’équipe » explique-t-elle. Avec son club de supporters, elle se lèvera à 4 heures du matin pour préparer le petit déjeuner des coureurs. En échange, elle espère voir son équipe monter sur la plus haute marche du podium. « On dit toujours aux coureurs, vous roulez, et nous, on veut avoir un retour. On leur donne de la force pour qu’ils ramènent des résultats », raconte Gigi.
Le cyclisme, est une passion familiale chez les Prissaint. Son frère est le président du club de la Croix du Sud. Pourtant, hors de question pour elle, de pratiquer ce sport. « Le vélo, c’est le dernier sport que je pratiquerais (rires). Quand je vois les kilomètres à avaler, parfois dans des conditions atmosphériques compliquées, je n’ai pas envie d’être à la place des coureurs », explique-t-elle.
« A la fin du tour, je suis aphone »
Dès samedi, banderole en main et tee-shirt à l’effigie du club, Gigi va encourager son équipe, jusqu’à ne plus va avoir de voix. « A la fin du tour, je suis aphone ! C’est pour vous dire comment on crie et à quel point on supporte », assure Gigi.Le club de supporters participe également à la vie de l’équipe « Durant la compétition, on s’occupe de la logistique, on prépare notamment les repas pour l’équipe » explique-t-elle. Avec son club de supporters, elle se lèvera à 4 heures du matin pour préparer le petit déjeuner des coureurs. En échange, elle espère voir son équipe monter sur la plus haute marche du podium. « On dit toujours aux coureurs, vous roulez, et nous, on veut avoir un retour. On leur donne de la force pour qu’ils ramènent des résultats », raconte Gigi.