Depuis ce lundi et jusqu’au 10 juin, Greenpeace France est de retour en Guyane. L’ONG entend cette fois défendre le projet d’un vaste réseau de réserves marines. Elle accompagne des scientifiques qui étudient les tortues marines.
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Après sa mobilisation depuis deux ans visant à protéger le récif de l’Amazone face au groupe pétrolier Total au large du Brésil mais aussi en Guyane, Greenpeace revient sur notre territoire.
Cette fois l’ONG de protection de l’environnement accompagne une équipe de l’Institut pluridisciplinaire Hubert Curien qui effectue des recherches scientifiques sur les tortues marines.
La mission est menée par Damien Chevallier, chercheur au CNRS ; elle se déroule dans la réserve naturelle de l’Amana et à Cayenne, lieux de ponte des tortues luths à cette saison. Le rapport publié en avril par l’IPBES, la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité, l’a confirmé : des milliers d’espèces pourraient être menacées d’extinction, dont les tortues marines.
Greenpeace entend défendre les océans en créant un vaste réseau de réserves marines. L’ONG estime que « les gouvernements ont l’opportunité cette année de répondre à cet impératif à travers le traité sur la haute mer actuellement en cours de négociation à l’Onu ».
Des milliers d'espèces menacées
Cette fois l’ONG de protection de l’environnement accompagne une équipe de l’Institut pluridisciplinaire Hubert Curien qui effectue des recherches scientifiques sur les tortues marines.La mission est menée par Damien Chevallier, chercheur au CNRS ; elle se déroule dans la réserve naturelle de l’Amana et à Cayenne, lieux de ponte des tortues luths à cette saison. Le rapport publié en avril par l’IPBES, la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité, l’a confirmé : des milliers d’espèces pourraient être menacées d’extinction, dont les tortues marines.