Depuis le 6 février, une partie du personnel de l'association Ebène, structure qui se déploie dans le secteur sanitaire et médico-social, a cessé le travail, à l’appel de l’UTG. Le mouvement est suivi par environ 10% du personnel qui réclame, notamment, la mise en oeuvre de la prime Macron.
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L'activité de plusieurs établissements de l’association est perturbée pour ce mouvement de grève : l’Esat pour l’accueil des personnes en situation de handicap, l’Ehpad de Troubiran ou encore la Maison d’accueil spécialisée à Cayenne.
C’est le licenciement d’une employée qui a mis le feu aux poudres. Le 26 janvier dernier, cette dernière a reçu la notification de son licenciement par courrier. Il lui est reproché, entre autres choses, une faute grave. La décision est jugée disproportionnée pour les grévistes. Deux autres revendications s’ajoutent à ce mouvement : la prime exceptionnelle Macron dont le personnel aimerait bénéficier et un plan de formation avec promotion en interne.
Le président de l'association, Alex Fleret assure qu'un plan de formation est bien en vigueur mais la capacité financière de de la structure ne permet pas de prendre toutes les demandes en charge.
Selon la direction, les non-grévistes aides-soignants n’ont pas pu accéder à certains sites. Résultat : certains patients n’ont pas pu recevoir leurs soins. La direction a donc fait appel à d’autres établissements, une rencontre avec les grévistes est prévue ce 8 février à 15h.
Le reportage de Guyane la 1ère
Trois revendications dont l'attribution de la prime Macron
C’est le licenciement d’une employée qui a mis le feu aux poudres. Le 26 janvier dernier, cette dernière a reçu la notification de son licenciement par courrier. Il lui est reproché, entre autres choses, une faute grave. La décision est jugée disproportionnée pour les grévistes. Deux autres revendications s’ajoutent à ce mouvement : la prime exceptionnelle Macron dont le personnel aimerait bénéficier et un plan de formation avec promotion en interne. Le président de l'association, Alex Fleret assure qu'un plan de formation est bien en vigueur mais la capacité financière de de la structure ne permet pas de prendre toutes les demandes en charge.
Selon la direction, les non-grévistes aides-soignants n’ont pas pu accéder à certains sites. Résultat : certains patients n’ont pas pu recevoir leurs soins. La direction a donc fait appel à d’autres établissements, une rencontre avec les grévistes est prévue ce 8 février à 15h.
Le reportage de Guyane la 1ère