A Maripa-soula un collectif dénonce la persistance des fumées de la décharge depuis la fin du mois de septembre. Plusieurs quartiers seraient encore impactés par ces émanations persistantes.Les riverains ont décidé d'entamer une grève.
C'est la grève générale aujourd’hui à Maripasoula. Un collectif dénonce la persistance des fumées de la décharge depuis la fin du mois de septembre malgré les interventions de la CCOG pour éradiquer le phénomène.
Plusieurs quartiers seraient encore impactés. Les établissements scolaires et les administrations de la commune du Lawa sont fermés.
Le 11 octobre, les riverains, les représentants des parents d'élèves, les représentants des chefs coutumiers et du comité de vie locale du PAG ont annoncé dans un courrier leur volonté de se mettre en grève. Ils veulent un arrêt définitif des fumées toxiques de la décharges d'ordures de Maripa-soula et surtout des analyses urgentes sur la qualité de l'air et de la toxicité dans les bâtiments publics et les habitations.
Ils expliquent que les fumées existent 24h/24h et exigent une réponse définitive et circonstanciée sur ce phénomène qui leur pourrit la vie.
Le syndicat SUD éducation s'est joint au mouvement dénonçant l'attitude de l'inspecteur du 2e degré qui a tenté de fairte ouvrir de force les établissements. De nombreux personnels ont fait valoir leur droit de retrait.
La CCOG a convoqué une réunion de crise ce matin à la sous-préfecture de Saint-Laurent du Maroni. La communauté des communes de l'ouest guyanais, responsable de la décharge de Maripasoula, reconnait la persistance de fumeroles, à l'origine d'une pollution qui selon la collectivité est plutôt olfactive. Tous les partenaires participent à cette réunion pour tenter de trouver une solution définitive pour éteindre l'incendie. Mais ni les pompiers, ni la Deal ne disposent de moyens suffisants sur place. Le Service départemental d'incendie et de secours doit faire une proposition à la CCOG d'ici la fin de la journée.
Plusieurs quartiers seraient encore impactés. Les établissements scolaires et les administrations de la commune du Lawa sont fermés.
Le 11 octobre, les riverains, les représentants des parents d'élèves, les représentants des chefs coutumiers et du comité de vie locale du PAG ont annoncé dans un courrier leur volonté de se mettre en grève. Ils veulent un arrêt définitif des fumées toxiques de la décharges d'ordures de Maripa-soula et surtout des analyses urgentes sur la qualité de l'air et de la toxicité dans les bâtiments publics et les habitations.
Ils expliquent que les fumées existent 24h/24h et exigent une réponse définitive et circonstanciée sur ce phénomène qui leur pourrit la vie.
Le syndicat SUD éducation s'est joint au mouvement dénonçant l'attitude de l'inspecteur du 2e degré qui a tenté de fairte ouvrir de force les établissements. De nombreux personnels ont fait valoir leur droit de retrait.