Le conflit à la Régie communautaire de transport (RCT) entamé il y a 9 jours s'éternise. Les négociations sont au point mort, les grévistes ne veulent pas négocier en présence du directeur de la structure dont ils réclament le départ. La présidente de la CACL a saisi la justice pour délit d'entrave.
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Il y a désormais deux clans à la Régie communautaire de transport, les grévistes UTG qui restent sur leur position et réclament le départ de l'actuel directeur, et les agents non grévistes qui veulent reprendre leur activté. Depuis le 21 novembre, les bus sont à l'arrêt pour des raisons de sécurité. Gratuits, ils sont bondés et la sécurité ne peut pas être respectée, les chauffeurs ne veulent plus remplir leur mission dans ces conditions.
Les agents qui souhaitent travailler montent au créneau et se mettent aux côtés des élus.
Le reportage de Marc-Philippe Coumba
Selon Albert Darnal, le secrétaire général de l'UTG, l'actuel directeur ne démontre pas qu'il est un bon manager, au contraire. Il est méprisant vis à vis du personnel. A son arrivée il n'a fait que reprendre les orientations du précédant directeurs. Cela ne suffit pas à démontrer sa compétence à ce poste. Ce 22 novembre, la situation est toujours bloquée et la présidente de la RCT, Marie-Laure Phinéra Horth est en attente d'une décision de justice.
Les agents qui souhaitent travailler montent au créneau et se mettent aux côtés des élus.
Le reportage de Marc-Philippe Coumba
Selon Albert Darnal, le secrétaire général de l'UTG, l'actuel directeur ne démontre pas qu'il est un bon manager, au contraire. Il est méprisant vis à vis du personnel. A son arrivée il n'a fait que reprendre les orientations du précédant directeurs. Cela ne suffit pas à démontrer sa compétence à ce poste. Ce 22 novembre, la situation est toujours bloquée et la présidente de la RCT, Marie-Laure Phinéra Horth est en attente d'une décision de justice.