Depuis 30 ans, l'écrivain Jean-Paul Delfino parcourt le Brésil à la recherche des secrets d'une musique patrimoniale au retentissement planétaire : la bossa nova. Invité de l'association Promolivres, il animera le 13 juin une conférence sur ce style musical créée au Brésil à la fin des années 50.
Jean-Paul Delfino n'en finit pas d'écrire sur le Brésil, source d'inspiration passionnelle. Il chemine dans ce pays depuis qu'il a 20 ans accompagné des sons entêtants de la bossa nova. De cet amour puissant et fusionnel est né une "suite brésilienne" : neuf romans qui retracent l'histoire du pays continent et quatres anthologies sur la bossa nova dont la dernière est parue en 2017 "Bossa nova, la grande aventure du Brésil".
Il ne sera question que de bossa nova le 13 juin à l'hôtel Ker Alberte au cours d'une conférence musicale. Le romancier nous promet des instants de partage ponctués d'anecdoctes. Pour retracer l'histoire de la bossa nova, Delfino sera accompagné d'une formation de musiciens de Guyane, Eric Bonheur à la guitare, Jean-Louis Danancier aux claviers, Karim Weimert au saxophone et Fernando Renau-Ferrer aux percussions.
Sans doute manquera t-il un chanteur ou une chanteuse à cet événement, car comment évoquer ce rythme sans fredonner "A felicidade" ou "Garota do Ipanema" d'Antonio Carlos Jobim et Vinicius de Moraes, la deuxième chanson la plus jouée dans le monde.
60 après sa naissance, la bossa nova au rythme d'exception a conquis la planète et il semble difficile qu'un autre mouvement de cette ampleur prenne la suite au Brésil.
Jean-Paul Delfino immergé dans ce milieu, depuis plus de 30 ans n'y croit pas.
Il ne sera question que de bossa nova le 13 juin à l'hôtel Ker Alberte au cours d'une conférence musicale. Le romancier nous promet des instants de partage ponctués d'anecdoctes. Pour retracer l'histoire de la bossa nova, Delfino sera accompagné d'une formation de musiciens de Guyane, Eric Bonheur à la guitare, Jean-Louis Danancier aux claviers, Karim Weimert au saxophone et Fernando Renau-Ferrer aux percussions.
Sans doute manquera t-il un chanteur ou une chanteuse à cet événement, car comment évoquer ce rythme sans fredonner "A felicidade" ou "Garota do Ipanema" d'Antonio Carlos Jobim et Vinicius de Moraes, la deuxième chanson la plus jouée dans le monde.
60 après sa naissance, la bossa nova au rythme d'exception a conquis la planète et il semble difficile qu'un autre mouvement de cette ampleur prenne la suite au Brésil.
Jean-Paul Delfino immergé dans ce milieu, depuis plus de 30 ans n'y croit pas.