Les jeudis de l’espace ce sont des réunions d’information organisées par l’Agence Spatiale Européenne autour des thèmes de l’espace. Ce jeudi, l’ESA présentait le projet Ariane 6 et ses avancées. Le lanceur européen dont le vol inaugural reste programmé pour le milieu d’année 2020.
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Ils étaient une cinquantaine à occuper les fauteuils du cinéma Urania afin de découvrir les avancées du programme Ariane 6. Dans l’assistance des familles travaillant ou pas sur la base. Face à eux les employés impliqués dans les travaux de la Zone de lancement ou de la mise au point du lanceur. Les questions étaient de tous ordres.
Pendant une heure et demi le public découvre l’étendu du chantier avec des chiffres tels que 45000 m3 de béton ou 7500 tonnes de charpentes métalliques forcément ça interpelle.
Des spectateurs admiratifs :
Une question qui renforce cette soif de réponse face à un projet qui suscite encore du scepticisme.
Tony Dos Santos : Membre de l’Agence Spatiale Européenne Kourou
" Est ce que il y aura de nouveaux métiers? de nouvelles compétences pour travailler sur Ariane 6?
Pendant une heure et demi le public découvre l’étendu du chantier avec des chiffres tels que 45000 m3 de béton ou 7500 tonnes de charpentes métalliques forcément ça interpelle.
Des spectateurs admiratifs :
Reste que tout nouveau lanceur suscite de la curiosité mais aussi une part d’incertitude, le vol inaugural d’Ariane 5 est là pour tempérer les enthousiastes. La naissance d’un projet génére parfois bien des inquiétudes." Des quantités de béton et la surface, le poids de tout ce qui est métallique, les chiffres sont impressionnants."
" Les moyens utilisés, la quantité de matériel et de main d'oeuvre ."
Une question qui renforce cette soif de réponse face à un projet qui suscite encore du scepticisme.
Tony Dos Santos : Membre de l’Agence Spatiale Européenne Kourou
Le 1er lancement est toujours prévu pour 2020 mais pourrait glisser au-delà du mois de juillet date retenue initialement." On met toutes les chances de notre coté avec Ariane 6 et donc pas trop des risques technologiques, on est axé sur une grosse pression sur la réduction des coûts; je pense que les gens sont bien concentrés dessus et le projet continue et suit bien son cours."