Alexandre Benard n'est pas encore très connu, mais le jeune kouroucien fait son chemin. Il a intégré l’équipe de France de Rugby à 7. De retour en vacances dans sa ville natale Kourou, il est un exemple pour beaucoup de jeunes amoureux de l’ovalie
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De retour à Kourou sur le terrain où il a marqué ses premiers essais. Alexandre Benard n’a pas oublié d’où il vient : ... c'est une fierté de retourner sur le terrain où j'ai grandi où je me suis entraîné...
Remarqué par Pierre Villepreux de passage en Guyane. Il est parti en 2014, ici tout le monde a le souvenir d’un joueur déterminé alors qu'il évoluait dans une discipline pas très développée au plan local, le rugby à 7. Il fait bien sûr la fierté du club. Son parcours exemplaire ne peut-être qu'un plus pour les jeunes.
Un passage par Lille Massy puis Vannes un club de pro D2. Repéré par la fédération, il a intégré le groupe France de rugby à 7 a signé un contrat fédéral puis été sélectionné pour la première fois.
A 21 ans, Alexandre a la tête sur les épaules, il ne s’enflamme pas même s’il rêve de participer aux Jeux Olympiques. Pour l’heure, il veut entraîner dans son sillage les jeunes qui découvrent la discipline sans trop savoir qui il est. Alexandre devenu parrain du pôle développement rugby de Guyane basé à l’IFAS pousse à la réussite. Ils sont de plus en plus nombreux à partir. En début de saison 4 jeunes ont rejoint le centre de formation d’Agen et un 5e a signé à Nice.
Remarqué par Pierre Villepreux de passage en Guyane. Il est parti en 2014, ici tout le monde a le souvenir d’un joueur déterminé alors qu'il évoluait dans une discipline pas très développée au plan local, le rugby à 7. Il fait bien sûr la fierté du club. Son parcours exemplaire ne peut-être qu'un plus pour les jeunes.
Un passage par Lille Massy puis Vannes un club de pro D2. Repéré par la fédération, il a intégré le groupe France de rugby à 7 a signé un contrat fédéral puis été sélectionné pour la première fois.
A 21 ans, Alexandre a la tête sur les épaules, il ne s’enflamme pas même s’il rêve de participer aux Jeux Olympiques. Pour l’heure, il veut entraîner dans son sillage les jeunes qui découvrent la discipline sans trop savoir qui il est. Alexandre devenu parrain du pôle développement rugby de Guyane basé à l’IFAS pousse à la réussite. Ils sont de plus en plus nombreux à partir. En début de saison 4 jeunes ont rejoint le centre de formation d’Agen et un 5e a signé à Nice.