Sollicitée le 22 octobre, la CGSS a répondu lundi 26 octobre sur le dossier du retraité de Montsinéry vivant avec 30€. La Caisse « s’engage à rétablir cet usager dans tous les droits auxquels il peut prétendre» et reconnaît que le « traitement de certains dossiers n’est pas satisfaisant ».
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Depuis cinq ans, Jean-Pierre Terpereau survit avec 30 euros et 90 centimes de retraite par mois à Montsinéry-Tonnégrande.
La Caisse Générale de Sécurité Sociale lui a refusé l’accès à l’ASPA, l’Allocation de Solidarité aux Personnes Agées, qui lui aurait garanti un revenu minimum mensuel de 903 euros.
L’an dernier, la CGSS a été condamnée en première instance puis en appel à lui verser cette allocation, soit 47 000 euros cumulés depuis début 2016.
L’institution se dit « attachée à l’accès aux droits de tous, même si cette mission se réalise dans des conditions difficiles notamment au vu des particularités du département en termes de continuité territoriale, numérique ou autres contraintes linguistiques, culturelles ou administratives ».
« Cela étant, cette mission demeure perfectible, et le traitement de certains dossiers n’est pas satisfaisant », reconnait laCGSS, qui « s’en excuse et met tout en œuvre pour améliorer la qualité de ses services aux publics ».
La Caisse Générale de Sécurité Sociale lui a refusé l’accès à l’ASPA, l’Allocation de Solidarité aux Personnes Agées, qui lui aurait garanti un revenu minimum mensuel de 903 euros.
L’an dernier, la CGSS a été condamnée en première instance puis en appel à lui verser cette allocation, soit 47 000 euros cumulés depuis début 2016.
La CGSS va rétablir cet usager dans tous ses droits
Sollicitée le 22 octobre, la Caisse suite à notre reportage, nous a répondu lundi par mail. Elle « s’engage à rétablir cet usager dans tous les droits auxquels il peut prétendre ». « Un entretien lui sera proposé dans le cadre d’un accompagnement social ».L’institution se dit « attachée à l’accès aux droits de tous, même si cette mission se réalise dans des conditions difficiles notamment au vu des particularités du département en termes de continuité territoriale, numérique ou autres contraintes linguistiques, culturelles ou administratives ».
« Cela étant, cette mission demeure perfectible, et le traitement de certains dossiers n’est pas satisfaisant », reconnait laCGSS, qui « s’en excuse et met tout en œuvre pour améliorer la qualité de ses services aux publics ».