Le sénateur de la Guyane, Antoine Karam alerte une nouvelle fois la ministre, malgré sa récente visite chez nous, sur la situation des hôpitaux guyanais
Plus qu’un plan de restructuration du CHAR, il souhaite un examen approfondi de l'offre de santé en Guyane.
Plus qu’un plan de restructuration du CHAR, il souhaite un examen approfondi de l'offre de santé en Guyane.
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"Il est indispensable d’agir car il en va de la qualité des soins pour l’ensemble des guyanais"; Antoine Karam dans son courrier réclame un examen de la situation guyanaise approfondi et attentif, en plus du plan de restructuration annoncé le week-end dernier.
Il indique que les trois hôpitaux de Cayenne, Kourou et Saint Laurent du Maroni sont dans une situation financière dramatique alors que le pays est en pleine croissance démographique.
Le sénateur pointe du doigt le problème de gouvernance au centre hospitalier de Cayenne, écrivant même que l’accalmie suscitée par sa visite en parlant de la ministre est éphémère. Il y a une opposition de grande ampleur au CHAR au regard des cadres supérieurs et hospitaliers en conflit avec la direction qui rejoint même l’intersyndicale. Les décisions importantes ne peuvent être prises en l’état et la situation de blocage est sans précédent ajoute le parlementaire.
Une interpellation directe, qui sans doute, ne manquera pas de faire réagir la ministre.
Il indique que les trois hôpitaux de Cayenne, Kourou et Saint Laurent du Maroni sont dans une situation financière dramatique alors que le pays est en pleine croissance démographique.
Une situation de blocage de grande ampleur à l'hôpital de Cayenne
Le sénateur pointe du doigt le problème de gouvernance au centre hospitalier de Cayenne, écrivant même que l’accalmie suscitée par sa visite en parlant de la ministre est éphémère. Il y a une opposition de grande ampleur au CHAR au regard des cadres supérieurs et hospitaliers en conflit avec la direction qui rejoint même l’intersyndicale. Les décisions importantes ne peuvent être prises en l’état et la situation de blocage est sans précédent ajoute le parlementaire.Une interpellation directe, qui sans doute, ne manquera pas de faire réagir la ministre.