Levée de boucliers contre la suspension du projet de centrale du Larivot

Centrale EDF à Dégrad des Cannes
La décision du tribunal administratif de suspendre l'autorisation environnementale pour l’exploitation de la future centrale du Larivot provoque le courroux des socio-professionnels et du syndicat UTG éclairage. Tous craignent les effets sur la production d'énergie et les conséquences sociales.

Sauver les 110 emplois de la centrale électrique de Dégrad-des-Cannes à Rémire-Montjoly, c'est l'objectif en tête du syndicat EDF éclairage, suite à la décision mardi 27 juillet du tribunal administratif de Cayenne de suspendre les travaux de la future centrale du Larivot, à Matoury.

Des conséquences désastreuses pour la production d’énergie et pour l’activité économique liée à l’édification de cette centrale, estime la FRBTP

Ce vendredi matin, une partie des salariés était rassemblée pour exprimer les inquiétudes qu'ils partagent, relatives à leur avenir.

Davy Rimane, le secrétaire général UTG-éclairage.

Davy Rimane réaction UTG décision Larivot

Du côté des socio-professionnels, la FRBTP et le Medef ont publié un communiqué commun pour dénoncer cette décision du Tribunal Administratif. Les conséquences seront désastreuses pour la production d’énergie et pour l’activité économique liée à l’édification de cette centrale estime Franck Ho-Wen-Szé, le président de la Fédération Régionale du Bâtiment et des Travaux Publics.

FRBTP remontée contre la décision du Tribunal Administratif centrale Larivot

La FRBTP entend s'engager dans une action rapidement en réaction à cet arrêt du projet.

Poursuites FRBTP