La revue Mitaraka est de retour. Cette revue a été créée dans les années 90 par un collectif d’artistes de tous horizons, de toutes origines. Des productions artistiques qu’ils exposaient dans une revue appelée Mitaraka. 7 ans après, la revue Mitaraka est de retour.
C’est l’histoire d’une renaissance. La renaissance de la revue Mitaraka. Née dans les années 90, cette revue d’art était très en avance sur son temps. Des artistes plasticiens écrivains, poètes tous avaient choisi cette revue comme forum d’expression. Elle se faisait entendre bien au-delà des océans. Certains numéros sont devenus "collectors" et ont permis de faire découvrir des artistes de renom.
Exemple avec un texte du dramaturge Elie Stephenson sur la culture et l’identité guyanaise pour qui la Guyane vit aujourd’hui un moment particulier de son histoire sociale.
Même crédo pour l’écrivain Serge Patient, lui aussi s’interroge sur "quelle Guyane demain". Le poète Kouroucien plaide pour une Guyane de la fraternité.
De nombreux poèmes également avec des auteurs comme Jocelyn Akwaba Matignon, ou Joël Roy. Enfin de la peinture avec la présentation d’œuvres de Yddy Clarus, Olivia Debyser et autres plasticiens du plateau des Guyanes.
Les textes sont aussi en portugais, en hollandais, ou anglais. Mitaraka se veut être une revue internationale dont le rayonnement dépassera sans nul doute les frontières.
Retrouvez la version vidéo :
A l'origine un groupe d'artistes avec une vision universelle
A l’origine ils étaient quelques-uns… Ils fondèrent d’abord l’association Mitaraka du nom de ce massif mystérieux, situé et c’est tout un symbole, à la frontière du Brésil de la Guyane et du Surinam. Des linguistes, des poètes, des musiciens des ethnologues des plasticiens tous embarqués dans une aventure où seule primait l’expression artistique, un nouveau monde en quelque sorte ouvert sur la créativité du plateau des Guyanes, de la grande Caraibe et de l’Amérique du sud.
De l'art et des mots
C’est une revue qui rassemble des textes poétiques, des réflexions ou encore la présentation d’œuvres artistiques. Ce premier numéro sonne tel le début d’une nouvelle ère avec des questions très existentielles.Exemple avec un texte du dramaturge Elie Stephenson sur la culture et l’identité guyanaise pour qui la Guyane vit aujourd’hui un moment particulier de son histoire sociale.
Même crédo pour l’écrivain Serge Patient, lui aussi s’interroge sur "quelle Guyane demain". Le poète Kouroucien plaide pour une Guyane de la fraternité.
De nombreux poèmes également avec des auteurs comme Jocelyn Akwaba Matignon, ou Joël Roy. Enfin de la peinture avec la présentation d’œuvres de Yddy Clarus, Olivia Debyser et autres plasticiens du plateau des Guyanes.
Les textes sont aussi en portugais, en hollandais, ou anglais. Mitaraka se veut être une revue internationale dont le rayonnement dépassera sans nul doute les frontières.
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