Une fois n’est pas coutume Commémoration de l’abolition de l’esclavage et lundi de Pentecôte coïncident.
Cette journée de solidarité instaurée en 2004 est un jour de travail supplémentaire non-rémunéré pour financer des actions en faveur de l'autonomie des personnes âgées ou handicapées.
Cette journée de solidarité instaurée en 2004 est un jour de travail supplémentaire non-rémunéré pour financer des actions en faveur de l'autonomie des personnes âgées ou handicapées.
•
Une fois n’est pas coutume Commémoration de l’abolition de l’esclavage et lundi de Pentecôte coïncident.
Cette journée de solidarité instaurée en 2004 est un jour de travail supplémentaire non-rémunéré effectué par les salariés pour financer des actions en faveur de l'autonomie des personnes âgées ou handicapées.
Des dispositions qui semblent aujourd’hui avoir été oubliées et c’est tout naturellement que le Guyanais vit cette année la commémoration et la fête chrétienne en même temps.
A un ou deux magasins ouverts prêts, c’est une atmosphère dominicale qui prédomine en ce lundi de Pentecôte, journée de solidarité non-rémunérée et à la fois cette année, 10 juin, jour de commémoration de l’abolition de l’esclavage en Guyane.
Une superposition de dates vécue naturellement.
Une passante :
Un passant :
Un passant :
Cette journée de solidarité instaurée en 2004 est un jour de travail supplémentaire non-rémunéré effectué par les salariés pour financer des actions en faveur de l'autonomie des personnes âgées ou handicapées.
Des dispositions qui semblent aujourd’hui avoir été oubliées et c’est tout naturellement que le Guyanais vit cette année la commémoration et la fête chrétienne en même temps.
A un ou deux magasins ouverts prêts, c’est une atmosphère dominicale qui prédomine en ce lundi de Pentecôte, journée de solidarité non-rémunérée et à la fois cette année, 10 juin, jour de commémoration de l’abolition de l’esclavage en Guyane.
Une superposition de dates vécue naturellement.
Une passante :
Ainsi le 10 juin, à l’occasion des manifestations, prend-il l’ascendant?" Je ne me suis pas posée la question, pour moi, hier c'était la Pentecôte, aujourd'hui c'est l'abolition de l'esclavage."
Un passant :
Et puis ce profond sentiment de révolte qui lui n’a pas de jour." C'est symbolique d'être avec toutes ces personnes qui oeuvrent pour la mémoire de l'esclavage, mais sans oublier que c'est la Pentecôte."
Un passant :
Là encore, une réflexion de nature à nourrir cette journée de pause." Tant que ce pays ne sera pas décolonisé, les cérémonies ne nous servent à rien."