Le 10 janvier un nouveau pas a été franchi à Maripasoula : une réunion s’est tenue, dans la commune du Haut Maroni avec des représentants de la CTG, des élus locaux, la communauté éducative et les parents d’élèves sur la construction du lycée qui devrait ouvrir à la rentrée 2022
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L’histoire retiendra vraisemblablement que c’est ce 10 janvier 2019 que le projet du lycée polyvalent de Maripasoula-Grand Santi est entré dans le concret des travaux.
Tous les acteurs étaient réunis pour échanger et trouver les solutions aux questions que soulève ce chantier gigantesque qui va bouleverser le bassin du Haut-Maroni.
Ce chantier à 40 millions d’euros, que l’on qualifie déjà de pharaonique va avoir un rôle véritablement structurant car presque tout est à faire et sur place. Pour exemple, la production d’énergie, ce lycée consommera 450 KWA, c’est la moitié de ce qu’utilisent actuellement les 20.000 habitants de la commune.
Il faudra aussi creuser une carrière, épauler la seule scierie sur place qui aujourd’hui ne produit même pas l’équivalent de ce que demande le chantier. Créer ou renforcer des pistes d’accès à la ressource. Les obstacles à surmonter sont nombreux.
Avec une capacité de 850 lycéens, 9 filières dont 5 technologiques comme : BTP-Mines, Energie, Environnement ou encore Bois, ce lycée c’est aussi un grand soulagement pour les parents d’élèves.
S’il est certain que cet établissement va en partie régler la question du déracinement et de la souffrance des jeunes lycéens originaires du Haut-Maroni, ce lycée a aussi l’ambition de s’ouvrir au littoral avec un internat de 80 places.
Le reportage de Guyane la 1ère
Tous les acteurs étaient réunis pour échanger et trouver les solutions aux questions que soulève ce chantier gigantesque qui va bouleverser le bassin du Haut-Maroni.
Un chantier pharaonique
Ce chantier à 40 millions d’euros, que l’on qualifie déjà de pharaonique va avoir un rôle véritablement structurant car presque tout est à faire et sur place. Pour exemple, la production d’énergie, ce lycée consommera 450 KWA, c’est la moitié de ce qu’utilisent actuellement les 20.000 habitants de la commune.Il faudra aussi creuser une carrière, épauler la seule scierie sur place qui aujourd’hui ne produit même pas l’équivalent de ce que demande le chantier. Créer ou renforcer des pistes d’accès à la ressource. Les obstacles à surmonter sont nombreux.
Avec une capacité de 850 lycéens, 9 filières dont 5 technologiques comme : BTP-Mines, Energie, Environnement ou encore Bois, ce lycée c’est aussi un grand soulagement pour les parents d’élèves.
S’il est certain que cet établissement va en partie régler la question du déracinement et de la souffrance des jeunes lycéens originaires du Haut-Maroni, ce lycée a aussi l’ambition de s’ouvrir au littoral avec un internat de 80 places.
Le reportage de Guyane la 1ère