A Maripasoula un accord a été signé entre le collectif de citoyens Wi Dédé, la CCOG, la préfecture, la municipalité et l’ARS. Au cœur de cet accord la situation de la décharge de la commune…Elle brûle depuis le 11 septembre.
A Maripasoula, un accord a été signé entre le collectif de citoyens Wi Dédé, la CCOG, la préfecture, la municipalité et l’ARS. Au cœur de cet accord la situation de la décharge de la commune…Depuis le 11 septembre la décharge brûle.
L’accord signé est intervenu après échanges avec la population et reprend point par point les revendications du collectif. De fortes fumées se dégagent occasionnant de nombreux désagréments. La population a manifesté sa colère car malgré les mesures prises, le feu se rallume, et à nouveau des odeurs incommodent les habitants de Maripasoula. Selon la Communauté de communes de l’ouest guyanais, l’accord est intervenu après échanges avec la population et reprend point par point les revendications du collectif.
Sophie Charles présidente de la CCOG :
Le texte a été proposé sur la place des fêtes au terme d’une longue journée d’échanges avec les équipes de la CCOG et de l’ARS. La population par l'intermédiaire de son porte-parole exprime sa satisfaction.
Samagnan Djo interrogé au journal radio du 23 octobre :
Le feu n'est pas encore complétement éteint mais les doléances de la population de Maripasoula ont été prises en compte par les pouvoirs publics. De nouveaux enjeux en perpective, pour les communes enclavées de l'ouest guyanais.
Un incendie depuis le 11 septembre
L’accord signé est intervenu après échanges avec la population et reprend point par point les revendications du collectif. De fortes fumées se dégagent occasionnant de nombreux désagréments. La population a manifesté sa colère car malgré les mesures prises, le feu se rallume, et à nouveau des odeurs incommodent les habitants de Maripasoula. Selon la Communauté de communes de l’ouest guyanais, l’accord est intervenu après échanges avec la population et reprend point par point les revendications du collectif.Sophie Charles présidente de la CCOG :
"Les échanges étaient très constructifs. Les objectifs sont communs : fermer la zone et ouvrir l'unité de tri. Nous devons être en partenariat avec ce sujet pour répondre aux enjeux de ces territoires."
Le texte a été proposé sur la place des fêtes au terme d’une longue journée d’échanges avec les équipes de la CCOG et de l’ARS. La population par l'intermédiaire de son porte-parole exprime sa satisfaction.
Samagnan Djo interrogé au journal radio du 23 octobre :
"La méthode a été très appréciée. Par rapport à l'incendie on a pu constater l'avancée des travaux. Par ailleurs l'ARS met en place des analyses pour savoir si la santé des habitants est menacée. Le matériel de l'ATMO pour mesurer la pollution de l'air est en voie d'acheminement."
Extrait journal radio 23 octobre