Des essaims d'abeilles ont envahi les cuves de l'ancienne rhumerie de Lamirande à Matoury. Ces abeilles sont particulièrement agressives et dangereuses. Alertée, la municipalité a sollicité un apiculteur et les pompiers pour déplacer les insectes.
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Il faut déplacer les colonies d’abeilles qui ont envahi l’ancienne rhumerie Lamirande située à Matoury. Elles sont dangereuses pour les animaux comme pour les êtres humains et relèveraient d'une espèce mutante au venin très toxique : l'abeille tueuse ou Apis mellifera scutellata. Il faut préciser que c'est la multiplication des piqûres qui peut provoquer des complications graves jusqu'au décès des personnes touchées.
La municipalité a fait appel à un apiculteur. Selon le professionnel, il y aurait entre 400 et 500 000 abeilles dans ces vestiges, des essaims installés sur les murs, les toits, dans les cuves et dans des endroits presque hors d’atteinte.
Des abeilles tueuses mais au combien utiles. En élevage ces abeilles permettent actuellement la production de 14,5 tonnes de miel en Guyane. Mais à l’état sauvage les choses se compliquent.
D'où la nécessité de tout mettre en oeuvre pour déplacer ces essaims. Un dispositif va être mis en place dans quelques jours pour mener l'opération qui va savérer délicate compte tenu de l'état de délabrement de l'usine et de la dangerosité des abeilles.
Le reportage de Guyane la 1ère
La municipalité a fait appel à un apiculteur. Selon le professionnel, il y aurait entre 400 et 500 000 abeilles dans ces vestiges, des essaims installés sur les murs, les toits, dans les cuves et dans des endroits presque hors d’atteinte.
Des abeilles tueuses mais au combien utiles. En élevage ces abeilles permettent actuellement la production de 14,5 tonnes de miel en Guyane. Mais à l’état sauvage les choses se compliquent.
D'où la nécessité de tout mettre en oeuvre pour déplacer ces essaims. Un dispositif va être mis en place dans quelques jours pour mener l'opération qui va savérer délicate compte tenu de l'état de délabrement de l'usine et de la dangerosité des abeilles.
Le reportage de Guyane la 1ère