Ils avaient jusqu'au 18 octobre pour libérer la maison qu'ils occupent illégalement sous peine de payer une astreinte de 50 euros par jour. La centaine de squatters visée par cette procédure d'expulsion n'a pas l'intention de quitter cet immeuble qui abritait auparavant les services de la météo.
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Les squatters au nombre de cent environ, adultes et enfants, ont apposé une banderole sur la maison qui abritait auparavant les services de la météorologie dans le quartier Rebard à Cayenne, ils n'ont pas l'intention de quitter les lieux. La plupart d'entre eux n'a pas de papiers. ils déclarent ne pas savoir où aller. Les démarches menées par eux ont été infructueuses précise une adolescente, on leur réclame des papiers, des documents administratifs qu'ils n'arrivent pas à obtenir. Ils demeurent là, dans ces conditions, parce qu'ils n'ont pas les moyens financiers d'aller ailleurs.
Deux témoignages recueillis par Renaud Terrazzoni
Deux témoignages recueillis par Renaud Terrazzoni