Le militaire suspecté d'avoir tué un orpailleur clandestin lors d'une opération Harpie dans la région de Camopi a été présenté au juge d'instruction. L'enquête criminelle ouverte par le Parquet de Cayenne révèle que le militaire a volontairement fait usage de son arme à feu.
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Le militaire placé en garde à vue dans le dossier de la mort d’un orpailleur clandestin dans la région de Camopi le week-end dernier, est en détention provisoire.
Le 25 septembre dans l'après-midi, il a été déféré devant un juge d’instruction. Le parquet a demandé l’ouverture d’une information judiciaire pour violence ayant entrainé la mort sans l’intention de la donner. Le procureur de la république, Samuel Finielz est revenu sur les faits tels qu'ils sont connus pour le moment. Il indique que le militaire a reconnu avoir fait usage de son arme en réponse à une attaque de machette d’un garimpeiros. C’était donc lors d’une opération de lutte contre l’orpaillage illégal sur le haut-Oyapock :
L'enquête se poursuit avec de nouvelles auditions pour éclaircir des déclarations contractoires des militaires :
Le débat devant le Juge des libertés et de la détention n’aura lieu que le 30 septembre. Le militaire reste donc incarcéré jusqu’à cette date.
Le 25 septembre dans l'après-midi, il a été déféré devant un juge d’instruction. Le parquet a demandé l’ouverture d’une information judiciaire pour violence ayant entrainé la mort sans l’intention de la donner. Le procureur de la république, Samuel Finielz est revenu sur les faits tels qu'ils sont connus pour le moment. Il indique que le militaire a reconnu avoir fait usage de son arme en réponse à une attaque de machette d’un garimpeiros. C’était donc lors d’une opération de lutte contre l’orpaillage illégal sur le haut-Oyapock :
Le procureur sur les premiers éléments d'enquête
La justice poursuit ses auditions
Le militaire suspecté d'avoir tué un garimpeiro dimanche dans la région de camopi, a été déféré devant le juge d'instruction. Le militaire aurait volontairement fait feu.