Ils n’ont pas encore l’âge de voter et pourtant ils ne manquent pas d’idées. Quels seraient leurs projets de loi ? Leurs combats ? Leurs mots ? Leurs coups de gueule ? "Moi, députée" donne la parole aux jeunes de Guyane à l’approche des législatives.
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A l’approche des élections législatives, Guyane 1ère donne la parole à ceux qui ne sont pas encore en âge de voter. Ils ont entre 13 et 18 ans, viennent de Saint-Laurent du Maroni, de rémire-Montjoly ou encore de Cayenne et ils suivent déjà de près l’actualité de leur département.
Regardez ci-dessous l’interview de Natacha 16 ans pour "Moi, Députée" :
A 16 ans, Natacha, lycéenne à Saint-Laurent du Maroni fera de la "lutte contre le décrochage scolaire, une priorité". "Beaucoup d’élèves abandonnent l’école, mais ce n’est pas forcément de leur faute, remarque la jeune fille. C’est parce-que c’est trop loin ou pas adapté. Ce n’est pas normal que les élèves d’Apatou se lèvent à 5h du matin pour venir étudier".
Dans son premier discours, Natacha sait déjà qu’elle s’adressera surtout aux professeurs.
Natacha l’affirme, si elle est élue députée, elle se battra pour l’éducation, mais pour aussi pour le développement de sa ville, Saint-Laurent du Maroni. Sur quel sujet interrogerait-elle le gouvernement ? Pas d’hésitation.
Regardez ci-dessous l’interview de Natacha 16 ans pour "Moi, Députée" :
A 16 ans, Natacha, lycéenne à Saint-Laurent du Maroni fera de la "lutte contre le décrochage scolaire, une priorité". "Beaucoup d’élèves abandonnent l’école, mais ce n’est pas forcément de leur faute, remarque la jeune fille. C’est parce-que c’est trop loin ou pas adapté. Ce n’est pas normal que les élèves d’Apatou se lèvent à 5h du matin pour venir étudier".
Dans son premier discours, Natacha sait déjà qu’elle s’adressera surtout aux professeurs.
Je voudrais imposer aux professeurs de maternelle de ne pas laisser les élèves qui ne savent pas lire passer en classe supérieur".
Natacha l’affirme, si elle est élue députée, elle se battra pour l’éducation, mais pour aussi pour le développement de sa ville, Saint-Laurent du Maroni. Sur quel sujet interrogerait-elle le gouvernement ? Pas d’hésitation.
Pourquoi la Guyane est dans cet état ? Pourquoi tant de manque de structures et d’écoles. C’est inacceptable.