Les communes de Guyane désormais aux aguets dès la découverte de la moindre déforestation ou occupation des terres. La pression urbaine, la pression des squats sont telles que les municipalités tentent de réagir le plus rapidement possible. L'exemple de Montsinery-Tonnegrande.
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Les communes de Guyane désormais aux aguets des la découverte de la moindre déforestation ou occupation des terres. La pression urbaine, la pression des squats sont telles que les municipalités tentent de réagir le plus rapidement possible dès constatation d'un événement de cet ordre. C’est le cas pour les grandes villes de Guyane mais c'est aussi le cas pour les petites communes. L'exemple de Montsinery-Tonnegrande.
Au bord de la départementale 5 route de Tonnegrande, impossible de ne pas remarquer cette trouée qui vient d’être faite dans la forêt. Une déforestestation sans autorisation, une voie d'une largeur impressionnante réalisée par le proprietaire de cette parcelle agricole acquise en 1985. Mais la municipalité de Montsinery-Tonnegrande n’a pas du tout apprécié de découvrir cette veine ouverte dans la forêt sans aucune déclaration de travaux ni la moindre information sur le projet.
Marc Cyrille Montet chef de projet à Montsinery-Tonnégrande précise :
Une trouée dans la forêt
Au bord de la départementale 5 route de Tonnegrande, impossible de ne pas remarquer cette trouée qui vient d’être faite dans la forêt. Une déforestestation sans autorisation, une voie d'une largeur impressionnante réalisée par le proprietaire de cette parcelle agricole acquise en 1985. Mais la municipalité de Montsinery-Tonnegrande n’a pas du tout apprécié de découvrir cette veine ouverte dans la forêt sans aucune déclaration de travaux ni la moindre information sur le projet.Marc Cyrille Montet chef de projet à Montsinery-Tonnégrande précise :
"On voit bien que ce n'est pas un projet agricole. Nous sommes très vigilants car nous ne voulons pas que des parcelles agricoles soient détournées pour d'autres projets. Il y a des autorisations à demander, une procédure à suivre."