Tout doucement mais certainement la campagne pour les élections municipales se met en place. Il y a encore peu de panneaux électoraux qui affichent les têtes de liste. Mais sur internet, dans les médias et dans la rue, les différents candidats commencent à faire leur propagande.
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Dans l’île de Cayenne, l’heure n’est pas au collage des affiches électorales. Un début de campagne timide, certainement troublé par la fatigue du carnaval et une actualité sanitaire, celle d’un virus asiatique, qui préoccupe beaucoup plus les électeurs, que la campagne elle-même.
Dans la ville de Kourou, jour de marché, la campagne bat sont plein et cela dans une ambiance plutôt bon enfant avec des distributions de tracts et de tee-shirts. Certains candidats on même enregistrer une chanson pour la circonstance
Aujourd’hui les réseaux sociaux sont devenus incontournables. La plupart des têtes de liste ont leur page personnelle sur la toile, des comptes Twitter, Facebook et surtout Whatsapp pour diffuser leurs arguments de propagande au plus grand nombre. Sur ce plan, néanmoins, le décalage existe entre les candidats certains étant plus affûtés en communication et recourrant même au service de professionnels.
La politique guyanaise, a fait sa révolution numérique et les électeurs aussi comme le confirme une habitante qui se renseigne sur les réseaux sociaux, la radio et la télé ... les réseaux sociaux c'est un moyen rapide paratique dit-elle, une autre personne confirme être également sur les réseaux sociaux et internet.
Les traditionnelles professions de foi, n’arriveront dans les boites aux lettres qu’en fin de semaine. Dans les villes de plus de 2.500 habitants, c’est la Préfecture qui gère les envois. Dans les plus petites communes, c’est aux candidats de supporter les frais, mais généralement ils préfèrent les distribuer leurs tracts lors de leur porte à porte.
Et puis pour informer il y a les médias classiques comme le souligne cet électeur : ... en regardant Guyane la 1ère, certains medias qui donnent des infos pertinentes...
Tractages traditionnels sur les marchés et viralisation numérique
Dans la ville de Kourou, jour de marché, la campagne bat sont plein et cela dans une ambiance plutôt bon enfant avec des distributions de tracts et de tee-shirts. Certains candidats on même enregistrer une chanson pour la circonstanceAujourd’hui les réseaux sociaux sont devenus incontournables. La plupart des têtes de liste ont leur page personnelle sur la toile, des comptes Twitter, Facebook et surtout Whatsapp pour diffuser leurs arguments de propagande au plus grand nombre. Sur ce plan, néanmoins, le décalage existe entre les candidats certains étant plus affûtés en communication et recourrant même au service de professionnels.
La politique guyanaise, a fait sa révolution numérique et les électeurs aussi comme le confirme une habitante qui se renseigne sur les réseaux sociaux, la radio et la télé ... les réseaux sociaux c'est un moyen rapide paratique dit-elle, une autre personne confirme être également sur les réseaux sociaux et internet.
Les traditionnelles professions de foi, n’arriveront dans les boites aux lettres qu’en fin de semaine. Dans les villes de plus de 2.500 habitants, c’est la Préfecture qui gère les envois. Dans les plus petites communes, c’est aux candidats de supporter les frais, mais généralement ils préfèrent les distribuer leurs tracts lors de leur porte à porte.
Et puis pour informer il y a les médias classiques comme le souligne cet électeur : ... en regardant Guyane la 1ère, certains medias qui donnent des infos pertinentes...