Plus de 40 street artists avaient répondu au projet créatif lancé par DSP Block Party au mois de février dernier aux Antilles Guyane. Après Samuel Adonaï, on vous propose de découvrir le deuxième finaliste pour la Guyane: il s’agit de Nicolas Quillot.
•
Nicolas Quillot est professeur des écoles. Et surtout designer graphique en free-lance. Si on le retrouve chez son marchand de fruits et de légumes, ce n’est pas un hasard : toutes ces couleurs et ces saveurs sont le point de départ de sa création graphique.
"J'ai voulu partir des fruits pour montrer qu'on a une richesse en Guyane, les fruits, montrer qu'on peut produire localement. Donc il y a un aspect revendicatif dans mon travail. On produit de belles choses, c'est un peu une allégorie en fait" explique-t-il, "j'ai voulu aussi retranscrire l'aspect assez sensuel de certains fruits".
Des ramboutans, un pitaya, un soupçon de création artistique et une bonne dose d’imagination pour espérer remporter ce concours. Si le graphisme a toujours été sa passion, l’art graphique est lui est primordial pour transmettre un message. Au-delà du simple aspect esthétique, ce concours est pour lui une réelle opportunité.
Nicolas "Scimo" Quillot
Vous avez jusqu’au 12 mai pour soutenir sur internet l’un des trois finalistes de notre département.
Le reportage de Guyane La 1ère :
"J'ai voulu partir des fruits pour montrer qu'on a une richesse en Guyane, les fruits, montrer qu'on peut produire localement. Donc il y a un aspect revendicatif dans mon travail. On produit de belles choses, c'est un peu une allégorie en fait" explique-t-il, "j'ai voulu aussi retranscrire l'aspect assez sensuel de certains fruits".
Des ramboutans, un pitaya, un soupçon de création artistique et une bonne dose d’imagination pour espérer remporter ce concours. Si le graphisme a toujours été sa passion, l’art graphique est lui est primordial pour transmettre un message. Au-delà du simple aspect esthétique, ce concours est pour lui une réelle opportunité.
Nicolas "Scimo" Quillot
Après la réalisation du design des billets de Kwak, la monnaie alternative locale, il espère bien remporter ce concours."Ce concours est géré par une grosse marque qui travaille beaucoup avec le street art depuis une vingtaine d'années. Donc dans les membres du jury, il y a des graphistes qui sont très connus. C'est l'unes de mes principales motivations : être jugé par des gens du métier et qui sont reconnus"
Vous avez jusqu’au 12 mai pour soutenir sur internet l’un des trois finalistes de notre département.
Le reportage de Guyane La 1ère :