L’Agence régionale de santé a un nouveau chef. Jacques Cartiaux qui était en poste depuis 2016 part à la retraite. Il sera remplacé par Clara de Bort. Qui est-elle ? Quel est son parcours ?
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Clara de Bort n’est pas de formation médicale. Après des études à Sciences Po Bordeaux, elle est entrée à l’école nationale de santé publique. C’est donc une directrice d’hôpital.
Clara de Bort a commencé sa carrière comme directrice des ressources humaines à l’hôpital psychiatrique de Pau, avant d’être directrice adjointe du centre hospitalier des Pyrénées, puis à nouveau directrice des ressources humaines au CHU de Bordeaux. En 2010, elle rentre dans les ministères, comme conseillère de Roselyne Bachelot, puis de Xavier Bertrand, deux ministres de la santé de François Fillon. En 2012, elle rejoint la direction générale de l’offre de soins. En 2014, elle devient directrice de la réserve sanitaire de l’Eprus qui intervient en France et dans le monde dans les situations de crise majeures.
Clara de Bort fait également partie d’un think tank, un groupe de réflexion, qui travaille sur l’influence du numérique dans la santé. Et elle tient également un Blog, « En Jupe », sur les femmes et la santé, la maltraitance et les violences dans la santé.
Elle se définit comme une défenseuse des droits des malades et des droits des femmes. Clara de Bort a plusieurs fois pris position pour dénoncer les anti-IVG ou les violences gynécologiques.
Clara de Bort a commencé sa carrière comme directrice des ressources humaines à l’hôpital psychiatrique de Pau, avant d’être directrice adjointe du centre hospitalier des Pyrénées, puis à nouveau directrice des ressources humaines au CHU de Bordeaux. En 2010, elle rentre dans les ministères, comme conseillère de Roselyne Bachelot, puis de Xavier Bertrand, deux ministres de la santé de François Fillon. En 2012, elle rejoint la direction générale de l’offre de soins. En 2014, elle devient directrice de la réserve sanitaire de l’Eprus qui intervient en France et dans le monde dans les situations de crise majeures.
Clara de Bort fait également partie d’un think tank, un groupe de réflexion, qui travaille sur l’influence du numérique dans la santé. Et elle tient également un Blog, « En Jupe », sur les femmes et la santé, la maltraitance et les violences dans la santé.
Elle se définit comme une défenseuse des droits des malades et des droits des femmes. Clara de Bort a plusieurs fois pris position pour dénoncer les anti-IVG ou les violences gynécologiques.