Lors d’une opération de la Police civile d’Oiapoque vendredi matin (vendredi 15 février), 8 personnes ont été arrêtées. Quatre sont poursuivies pour contrebande d'or. Elles étaient à bord d’une embarcation en provenance de Régina.
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Cinq jours d’opération et déjà plusieurs arrestations. La police civile d’Oiapoque mène en ce moment une vaste intervention de lutte contre les divers trafics sur le fleuve, dans la région d’Oiapoque.
Huit personnes ont ainsi été interpellées, dont quatre sont inculpées pour contrebande d’or. Les suspects naviguaient à bord d’une embarcation en provenance de Régina, en Guyane.
Les quatre autres personnes sont accusées de mise en danger de la vie d’autrui et de transport non conforme aux normes de sécurités fluviales. II s’agit de deux pilotes et deux auxiliaires qui assurent régulièrement le transport clandestin de passagers. La semaine dernière, un Brésilien est décédé au cours d’une traversée du fleuve après le naufrage du navire. Il n'y avait pas de gilet de sauvetage à bord de la pirogue.
Les huit détenus ont été conduits au Centre intégré pour les opérations de sécurité publique d’Oiapoque. Les quatre passeurs ont ensuite été présentés au siège de la police fédérale.
L'opération fluviale de la Police Civile d’Oiapoque bénéficie du soutien de Gendarmerie Française, de l'Institut d'administration pénitentiaire et de la marine brésilienne.
Source : Diario do AMAPA et Globo Rede AMAZONICA
Huit personnes ont ainsi été interpellées, dont quatre sont inculpées pour contrebande d’or. Les suspects naviguaient à bord d’une embarcation en provenance de Régina, en Guyane.
Les quatre autres personnes sont accusées de mise en danger de la vie d’autrui et de transport non conforme aux normes de sécurités fluviales. II s’agit de deux pilotes et deux auxiliaires qui assurent régulièrement le transport clandestin de passagers. La semaine dernière, un Brésilien est décédé au cours d’une traversée du fleuve après le naufrage du navire. Il n'y avait pas de gilet de sauvetage à bord de la pirogue.
Les huit détenus ont été conduits au Centre intégré pour les opérations de sécurité publique d’Oiapoque. Les quatre passeurs ont ensuite été présentés au siège de la police fédérale.
L'opération fluviale de la Police Civile d’Oiapoque bénéficie du soutien de Gendarmerie Française, de l'Institut d'administration pénitentiaire et de la marine brésilienne.
Source : Diario do AMAPA et Globo Rede AMAZONICA