Du 27 janvier au 13 février une opération à grande échelle de lutte contre la pêche illégale a été lancée dans les eaux territoriales françaises. L'opération Mokarran. Résultat : l‘arraisonnement de trois tapouilles brésiliennes, le Comte italo, le Anjo Gabriel et le Comte Lauro Gomes III. Après avoir été interceptées, les embarcations ont été détruites, car elles étaient en situation de récidive.
Au total 23 tonnes de poissons, 222 kg de vessies natatoires, et 9,5 km de filet ont été saisis. Les capitaines des navires, ainsi qu’un marin violent, ont été placés en garde à vue. Les autres membres d’équipage ont été reconduits à la frontière.
Les opérations « coup de poing » ont été menées autant à l’Est qu’à l’Ouest de la zone maritime guyanaise. Selon le communiqué des services de l’Etat "au total, c’est un impact financier estimé à près de 180 000 euros que ces actions (…) ont infligé aux pêcheurs illégaux étrangers".