Faute de trouver du travail légalement, Félicine, Sean et Frédéric essayent de gagner de l'argent grâce à leur savoir-faire. Couturière, cuisinier ou esthéticienne, ces travailleurs de l'ombre abordent leur quotidien dans ce documentaire de 52 minutes. Attirer la clientèle, la conserver, ils doivent tout faire afin de maintenir leur activité, tant les enjeux sont importants.
Pouvoir nourrir sa famille, payer ses factures ou tenter de survivre, chaque jour suffit sa peine. Rien ne se fait sans difficultés.
Pendant la pandémie, faute de pouvoir vendre son boudin, Sean a dû trouver une autre source de revenus.
Quand il y a eu le covid, j'ai fermé pendant plus d'un mois, pratiquement deux mois. Heureusement, j'ai un hobby. Je sais faire de la construction.
Sean, djobbeur
Quoi qu'il en soit, ils restent des passionnés. Ces Guyanais originaires de l'Ouest font les choses avec conviction et mettent du cœur à l'ouvrage. Chacun à leur manière, ils tentent d'améliorer les conditions de vie à Saint-Laurent-du-Maroni.
De nos mains, un documentaire de Philippine Orefice.
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