C'était ce week-end dans la commune de Mana, une fusion entre deux genres musicaux. Le jazz au son du sampula, le tambour des amérindiens. Une découverte très appréciée par les spectateurs présents.
Les murs du Centre d’art Carma de Mana ont vibré dimanche après-midi au son du jazz et du sampula, le tambour amérindien kalina.
Une rencontre inédite des cultures entre Nicolas Lossen, quartet de la Martinique et les musiciens et chanteurs du groupe kalina Ayawande d’Awala Yalimapo. Une expérience qui se révèle particulièrement riche sur le questionnement identitaire dans le bassin caraïbéen et amazonien, une thématique aux infinis rebondissements.
Cette résidence d’artiste a eu lieu pendant plusieurs semaines et ce dimanche était le jour de la restitution.