Pendant près de trois semaines, le 9e Régiment d’infanterie de Marine (9e RIMa) a mené, en appui des forces de sécurité intérieure, une opération de lutte contre l’orpaillage illégal de grande envergure dans l’ouest guyanais.
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L’opération Piman a été menée avec le déploiement d’un dispositif conséquent. Patrouilles, dispositifs de surveillance et d’interception mais aussi opérations coup de poing sur renseignement ont été conduits, permettant la saisie et la destruction de moyens logistiques tels que des pirogues ou des quads ainsi que du matériel nécessaire à l’extraction de l’or. Pour Piman, 450 marsouins ont été mobilisés. L’opération a permis de neutraliser les flux logistiques des orpailleurs illégaux sur la piste Paul Isnard et le fleuve Mana.
Les militaires ont ratissé une zone de 80km, fouillant et détruisant systématiquement les chantiers, les campements ou caches pendant leur progression. Les marsouins ont traqué durant cette mission les garimpeiros au cœur de la jungle guyanaise. Leurs objectifs : le matériel d’orpaillage et l’or volé, la logistique permettant aux orpailleurs de poursuivre leurs activités dans la région. Reconnaissance fluviale, terrestre en quads pour ne citer que ceux-là, tous les modes opératoires ont été mis en œuvre pour rechercher et détruire toute activité illégale liée à l’orpaillage.
Avec dix détachements engagés, le 9e RIMa a quadrillé la zone d’opération contraignant les garimperos à abandonner leurs matériels et leurs logistiques. Au-delà du bilan chiffré, l’opération Piman a certainement mis à mal pour plusieurs semaines les activités d’orpaillage illégal sur le Nord-ouest guyanais.
Les militaires ont ratissé une zone de 80km, fouillant et détruisant systématiquement les chantiers, les campements ou caches pendant leur progression. Les marsouins ont traqué durant cette mission les garimpeiros au cœur de la jungle guyanaise. Leurs objectifs : le matériel d’orpaillage et l’or volé, la logistique permettant aux orpailleurs de poursuivre leurs activités dans la région. Reconnaissance fluviale, terrestre en quads pour ne citer que ceux-là, tous les modes opératoires ont été mis en œuvre pour rechercher et détruire toute activité illégale liée à l’orpaillage.
Avec dix détachements engagés, le 9e RIMa a quadrillé la zone d’opération contraignant les garimperos à abandonner leurs matériels et leurs logistiques. Au-delà du bilan chiffré, l’opération Piman a certainement mis à mal pour plusieurs semaines les activités d’orpaillage illégal sur le Nord-ouest guyanais.