Chaque jour, des patients du Suriname sont admis au GHOG à Saint-Laurent du Maroni. L'hôpital a le statut d'établissement transfrontalier et peut les accueillir mais il faut surmonter la barrière de la langue donc 4 médiateurs santé qui maîtrisent plusieurs langues sont régulièrement sollicités.
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De nombreux patients surinamais sont accueillis au Centre hospitalier de l'ouest guyanais. Il a fallu, pour permettre aux soignants d'être efficaces, surmonter la barrière de langue et faire appel à ceux que l'on appelle désormais des médiateurs santé. Ils sont au nombre de 4 au CHOG et ont pour principale mission d'aider les médecins en difficulté de communication avec les patients.
Pascale, l'une d'entre eux, est infirmière en psychiatrie et a une expérience de 30 ans dans le métier. Elle a une approche du soin très humaine et maîtrise plusieurs langues dont le nengue et le néerlandais. Elle connaît bien les populations de l'ouest, leurs codes, leurs cultures et notamment le comportement non verbal.
Le rôle de ces médiateurs, en nombre insuffisant, est devenu essentiel pour le bon fonctionnement du CHOG.
Pascale, l'une d'entre eux, est infirmière en psychiatrie et a une expérience de 30 ans dans le métier. Elle a une approche du soin très humaine et maîtrise plusieurs langues dont le nengue et le néerlandais. Elle connaît bien les populations de l'ouest, leurs codes, leurs cultures et notamment le comportement non verbal.
Le rôle de ces médiateurs, en nombre insuffisant, est devenu essentiel pour le bon fonctionnement du CHOG.