Des îlots de misère et de grande précarité sont de plus en plus nombreux en Guyane. Ils concernent beaucoup les populations immigrées mais dans dans les centres de solidarité on retrouve également ceux que l'on appelle les travailleurs pauvres dont les revenus sont insuffisants pour leurs besoins..
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Le 17 octobre est la journée internationale pour l'élimination de la pauvreté dans le monde. Elle a été créée en 1992. malheureusement depuis cette date, la misère s'accroît un peu partout dans le monde. Sur le continent sud américain, la Guyane bien que sous développée ne ressentait pas trop les effets de la pauvreté mais actuellement, la paupérisation se fait de plus en plus ressentir sur l'ensemble du territoire guyanais. On l'observe dans les rues des villes où les personnes sans domiciles errent, squattent des coins d'immeubles où mendient près des boulangeries. Les bidonvilles s'étoffent aux alentours des communes et s'y entassent des familles qui vivent dans une insalubrité de plus en plus grande, sans eau potable et sans électricité.
Et s'il y a comme cela des zones de grande misère où se retrouvent généralement les migrants clandestins, la précarité touche également une population de nouveaux pauvres, des retraités aux maigres revenus, des travailleurs aux petits salaires qui ne suffisent pas à couvrir la totalité de leurs charges. C'est le constat des associations solidaires.
Il n'y a pas d'études disponibles récentes sur la précarité en Guyane, des estimations de 2011 annoncent que 44% de la population guyanaise vivrait en dessous du seuil de pauvreté.
Le reportage de Guyane 1ère
Et s'il y a comme cela des zones de grande misère où se retrouvent généralement les migrants clandestins, la précarité touche également une population de nouveaux pauvres, des retraités aux maigres revenus, des travailleurs aux petits salaires qui ne suffisent pas à couvrir la totalité de leurs charges. C'est le constat des associations solidaires.
Il n'y a pas d'études disponibles récentes sur la précarité en Guyane, des estimations de 2011 annoncent que 44% de la population guyanaise vivrait en dessous du seuil de pauvreté.
Le reportage de Guyane 1ère