Les grands mammifères marins, cachalots et autres baleines sont bien présents au large de la Guyane. Une grande campagne de recensement vient de commencer. Un navire océanographique a levé l’ancre au port de Kourou.
Derniers préparatifs, avant le grand départ. Pendant dix jours, le Guyavoile va naviguer à plus de 150 kms de nos côtes. A bord, quatre observateurs de l’association OSL pour recenser les mammifères marins. Les premières campagnes menées en 2009 et 2012 ont révélé la présence de 19 espèces.
Claire Pusinéri, biologiste marin, responsable scientifique de l’association Océan Science Logistic (OSL)
Cette nouvelle campagne vise à mieux connaître les mammifères marins pour mieux les protéger des retombées de l’exploration pétrolière prévue au début de l’année prochaine...
Benjamin De Montgolfier, biologiste marin, responsable scientifique OSL Martinique
Après dix jours en mer, le Guyavoile reviendra à Kourou le 24 juin…puis il repartira au large pour la même durée.
Deux autres campagnes sont prévues en septembre et octobre, coût du programme : 200 mille euros financés par l’Etat et l’Europe.
Le reportage de Guyane la 1ère :
Claire Pusinéri, biologiste marin, responsable scientifique de l’association Océan Science Logistic (OSL)
"Au large de la Guyane, on a des dauphins, des grands plongeurs comme les cachalots et les baleines. Notre objectif c'est de faire des préconisations pour limiter les risques de l'activité pétrolière en Guyane".
Protéger les mammifères marins du pétrole
Cette nouvelle campagne vise à mieux connaître les mammifères marins pour mieux les protéger des retombées de l’exploration pétrolière prévue au début de l’année prochaine...Benjamin De Montgolfier, biologiste marin, responsable scientifique OSL Martinique
"Notre objectif est de savoir combien de mammifères marins il y a dans un temps donné, et s'il en existe également"
Après dix jours en mer, le Guyavoile reviendra à Kourou le 24 juin…puis il repartira au large pour la même durée.
Deux autres campagnes sont prévues en septembre et octobre, coût du programme : 200 mille euros financés par l’Etat et l’Europe.
Le reportage de Guyane la 1ère :