La rentrée scolaire 2018/2019 est prévue le 3 septembre. Les enseignants dés le 31 août vont reprendre le chemin de l’école. De nombreux changements interviendront cette année dans le primaire, notamment.
Jean-Michel Blanquer de l’avis de tous, s’est, depuis le début de son mandat à la tête de l’Education nationale, montré plutôt offensif en imposant une instruction classique. Un retour aux fondamentaux, qui n’est pas sans déplaire aux parents d’élèves. Dans le primaire, des mesures sont impulsées afin d’inciter les jeunes scolaires à renouer avec le goût des études et des belles lettres. Mercredi dernier, il a donné une conférence de presse afin de délivrer les grandes lignes de ses objectifs.
En français, pour les primaires, une dictée quotidienne est prévue afin d’améliorer l’apprentissage de l’orthographe et de la langue. Autre mesure, l’application de la méthode syllabique pour l’apprentissage de la lecture. Les élèves devront également connaître la conjugaison complète du passé simple. Enfin, les primaires devront lire de cinq à dix œuvres littéraires par an.
A noter, un changement et de taille au niveau des mathématiques. Les quatre opérations de base (addition, soustraction, multiplication et division) seront abordées dès le cours préparatoire.
Les élèves de CE2 apprendront par cœur le premier couplet de la marseillaise. Une chanson inscrite dans le programme de l’enseignement moral et civique. Auparavant l’hymne national était enseigné en CM1 dans le cadre des cours sur la Révolution française. Ils devront également connaître le fonctionnement de l’Assemblée nationale et le Sénat.
L’éducation civique et citoyenne sera au cœur de cet enseignement.
Le dédoublement des classes en primaires continue. La réforme l’an dernier, ne concernait que les CP situés dans des quartiers défavorisés, la mesure cette année, concerne les CE1 de REP+ et les CP de REP.
En Guyane, faute de logistique, toutes les classes n’ont pu être dédoublées. En revanche, les enfants ont pu bénéficier de plusieurs enseignants.
Grand-Santi, Sinnamary, Roura et Montsinery-Tonnégrande depuis l’an dernier, ont opté pour un retour à la semaine des quatre jours. Cette année, ce sont Cayenne, Kourou et Matoury qui l'ont choisie. Rémire-Montjoly et Saint Laurent, elles, restent sur la semaine des 4 jours et demi.
Résultat : l'Education nationale propose pour les villes qui le souhaient "un Plan Mercredi". Il s’agit de mettre en place des activités avec une ambition pédagogique, destinées à enrichir la culture des enfants et leur ouverture aux autres.
Un projet éducatif territorial labellisé "Plan Mercredi" sera initié par les communes concernées et l’Etablissement public de coopération inter communale.
Des programmes renforcés
En français, pour les primaires, une dictée quotidienne est prévue afin d’améliorer l’apprentissage de l’orthographe et de la langue. Autre mesure, l’application de la méthode syllabique pour l’apprentissage de la lecture. Les élèves devront également connaître la conjugaison complète du passé simple. Enfin, les primaires devront lire de cinq à dix œuvres littéraires par an.A noter, un changement et de taille au niveau des mathématiques. Les quatre opérations de base (addition, soustraction, multiplication et division) seront abordées dès le cours préparatoire.
Les élèves de CE2 apprendront par cœur le premier couplet de la marseillaise. Une chanson inscrite dans le programme de l’enseignement moral et civique. Auparavant l’hymne national était enseigné en CM1 dans le cadre des cours sur la Révolution française. Ils devront également connaître le fonctionnement de l’Assemblée nationale et le Sénat.
L’éducation civique et citoyenne sera au cœur de cet enseignement.
Un dédoublement des classes difficile
Le dédoublement des classes en primaires continue. La réforme l’an dernier, ne concernait que les CP situés dans des quartiers défavorisés, la mesure cette année, concerne les CE1 de REP+ et les CP de REP.En Guyane, faute de logistique, toutes les classes n’ont pu être dédoublées. En revanche, les enfants ont pu bénéficier de plusieurs enseignants.
Le Plan Mercredi
Grand-Santi, Sinnamary, Roura et Montsinery-Tonnégrande depuis l’an dernier, ont opté pour un retour à la semaine des quatre jours. Cette année, ce sont Cayenne, Kourou et Matoury qui l'ont choisie. Rémire-Montjoly et Saint Laurent, elles, restent sur la semaine des 4 jours et demi.Résultat : l'Education nationale propose pour les villes qui le souhaient "un Plan Mercredi". Il s’agit de mettre en place des activités avec une ambition pédagogique, destinées à enrichir la culture des enfants et leur ouverture aux autres.
Un projet éducatif territorial labellisé "Plan Mercredi" sera initié par les communes concernées et l’Etablissement public de coopération inter communale.