L’agression d’un chauffeur de bus à Cayenne a déclenché un droit de retrait du personnel de la régie communautaire de transport jusqu’à la veille de Noël. La communauté d’agglomération et la RCT ont réagi en mettant en place un nouveau dispositif. Le travail a repris.
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Suite à l’agression d'un chauffeur, le 21 décembre au soir en face de l’hôtel Montabo, un droit de retrait du personnel de la Régie communautaire de transport a paralysé le trafic des bus dans l’agglomération jusqu’à lundi.
Dans la foulée, la CACL a fait savoir qu’elle transférait l’arrêt Montabo à l’Encre le soir, jusqu’au 31 mars. Une mesure qui avait déjà été prise l’an dernier, sans être appliquée sur le long terme.
Par ailleurs, la collectivité sécurise désormais les arrêts Mont-Lucas et cimetière de Cabassou, sur les lignes 3 et 5. Une présence policière y est demandée à partir de 18 h et ce jusqu’au 3 janvier.
En cas d’absence de la police sur les sites les plus risqués, les bus devront réduire leur temps de stationnement.
Pour le syndicat CDTG-CFDT, ce dispositif ne réglera pas tous les problèmes de sécurité auxquels sont confrontés les chauffeurs. L’organisation syndicale estime aussi que les usagers seront davantage exposés au danger.
Ce dispositif pourra être ajusté et prolongé au-delà du 3 janvier – si nécessaire – par la RCT et la collectivité.
Le reportage de Guyane la 1ère
Dans la foulée, la CACL a fait savoir qu’elle transférait l’arrêt Montabo à l’Encre le soir, jusqu’au 31 mars. Une mesure qui avait déjà été prise l’an dernier, sans être appliquée sur le long terme.
Par ailleurs, la collectivité sécurise désormais les arrêts Mont-Lucas et cimetière de Cabassou, sur les lignes 3 et 5. Une présence policière y est demandée à partir de 18 h et ce jusqu’au 3 janvier.
En cas d’absence de la police sur les sites les plus risqués, les bus devront réduire leur temps de stationnement.
Pour le syndicat CDTG-CFDT, ce dispositif ne réglera pas tous les problèmes de sécurité auxquels sont confrontés les chauffeurs. L’organisation syndicale estime aussi que les usagers seront davantage exposés au danger.
Ce dispositif pourra être ajusté et prolongé au-delà du 3 janvier – si nécessaire – par la RCT et la collectivité.
Le reportage de Guyane la 1ère