Réseaux sociaux : un fake news en cache un autre, la rédaction répond au Sénateur Karam

Il est aujourd’hui de plus en plus important de faire attention aux fausses informations. L’exemple du sénateur Antoine Karam en commission de la culture au Sénat en est l'exemple frappant. Une polémique, qui a nécessité un démenti dans le journal télévisé.
Actuellement sur les réseaux sociaux, de nombreuses infos circulent et sont relayées. Chaque jour, de folles rumeurs évoquent des "grèves d’essence à répétition", ou récemment "la fermeture du pont du Larivot" ou encore l’exemple ces dernières semaines, "de la circulation de la photo et du nom de ce jeune homme injustement condamné par la vindicte populaire du meurtre d'un agent de police municipale". Un cas d'école pris en exemple par le sénateur Antoine Karam en commission de la culture, de l'éducation et de la communication du Sénat. Or cette rumeur n'a pas été traitée par le média public avec légéreté.
Les explications de Bertrand Villeneuve dans le JT :


Lutter contre la désinformation

Aujourd’hui, les réseaux sociaux véhiculent des milliers d’informations. Des informations dont la portée est instantanée. Une rapidité qu’il est difficile de circonscrire et de vérifier tant leur consommation est sans filtre. Or c’est le rôle des médias dits traditionnels de faire le tri et de vérifier l’information avant toute diffusion. C’est le B.A.B.A de nos métiers et en particulier du métier de journaliste. La vérification d’une information est prioritaire.

Loi anti "fake-news"

Ces rumeurs, incitent à redoubler de prudence et confortent la nécessité de rester dans le rôle de médias crédibles grâce à la fiabilité des informations délivrées.
Preuve que la question fait débat actuellement : le vote de la loi anti-fake news du gouvernement a été reporté à une date ultérieure. Il devrait reprendre en juillet