Saint-Laurent-du-Maroni s’apprête à vivre un temps fort avec la première édition du FIFAC. De nombreux réalisateurs, producteurs et agents de la culture et du cinéma ont fait le déplacement afin de participer à ce festival du film documentaire.
•
Saint-Laurent-du-Maroni s’apprête à vivre un temps fort avec la première édition du FIFAC. De nombreux réalisateurs, producteurs et agents de la culture et du cinéma ont fait le déplacement afin de participer à ce festival du film documentaire.
Pour ce premier rendez-vous, 21 films seront projetés dont 13 en compétition. Le jury décernera le grand prix du festival pour le meilleur documentaire, le prix spécial du jury, le prix des lycéens et un prix du meilleur contenu digital. L’organisation met les bouchées doubles pour l’accueil des festivaliers, professionnels et le grand public.
Fred Belleney directeur général du Festival International du Film documentaire Amazonie-Caraïbes explique :
Trinidad, Haïti, Venezuela, la France, la Jamaïque, la Colombie, la Martinique, le Brésil, l’Equateur, la Guadeloupe et bien entendu la Guyane sont les pays représentés pour les films en compétition. Et puis à côté de la sélection officielle, il y a les films-documentaires proposés par les
établissements scolaires de Mana, Apatou et Saint-Laurent, occasion pour ces documentaristes en herbe de se rencontrer et de vivre l’ambiance d’un festival et de rencontrer des réalisateurs. Mais ce FIFAC c’est aussi un espace de rencontres professionnelles, de conférences et de master class, opportunité de créer des liens entre réalisateurs, professionnels de l’audiovisuel et le grand public.
Le camp de la Transportation devrait être le carrefour incontournable du film-documentaire pendant toute cette semaine, un rendez-vous qui inscrit
Saint-Laurent, le chef lieu de l'ouest encore un peu plus dans la toile audiovisuelle de la grande zone Amazonie-Caraïbe.
Eric Léon/Karl Sivatte/MCT
21 films de tous horizons à voir
Pour ce premier rendez-vous, 21 films seront projetés dont 13 en compétition. Le jury décernera le grand prix du festival pour le meilleur documentaire, le prix spécial du jury, le prix des lycéens et un prix du meilleur contenu digital. L’organisation met les bouchées doubles pour l’accueil des festivaliers, professionnels et le grand public.Fred Belleney directeur général du Festival International du Film documentaire Amazonie-Caraïbes explique :
« Le FIFAC pour le grand public, ce sont des projections durant quatre jours dans les salles, mais aussi sous les étoiles, des ateliers, des rencontres. Le public pourra rencontrer les professionnels et échanger sur les différents métiers.»
Un festival Amazone-Caraïbe
Trinidad, Haïti, Venezuela, la France, la Jamaïque, la Colombie, la Martinique, le Brésil, l’Equateur, la Guadeloupe et bien entendu la Guyane sont les pays représentés pour les films en compétition. Et puis à côté de la sélection officielle, il y a les films-documentaires proposés par lesétablissements scolaires de Mana, Apatou et Saint-Laurent, occasion pour ces documentaristes en herbe de se rencontrer et de vivre l’ambiance d’un festival et de rencontrer des réalisateurs. Mais ce FIFAC c’est aussi un espace de rencontres professionnelles, de conférences et de master class, opportunité de créer des liens entre réalisateurs, professionnels de l’audiovisuel et le grand public.
Le camp de la Transportation théâtre du film documentaire
Le camp de la Transportation devrait être le carrefour incontournable du film-documentaire pendant toute cette semaine, un rendez-vous qui inscritSaint-Laurent, le chef lieu de l'ouest encore un peu plus dans la toile audiovisuelle de la grande zone Amazonie-Caraïbe.
Eric Léon/Karl Sivatte/MCT