Le Centre hospitalier de l’ouest guyanais sous la menace d’une grève. Un préavis de grève illimité a été déposé le 17 octobre. Depuis des négociations ont eu lieu mais syndicat et direction se renvoient la balle.
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Le Centre hospitalier de l’ouest guyanais sous la menace d’une grève. Un préavis de grève illimité a été déposé le 17 octobre. Depuis des négociations ont eu lieu mais syndicat et direction se renvoient la balle.
C’est en fin d’après-midi ce mercredi 23 octobre que le syndicat UTG livrera sa décision. Un syndicat en guerre contre la direction du CHOG, depuis une panne des concentrateurs alimentant en oxygène l’établissement. Conséquence : le report d’un certain nombre d’opérations chirurgicales. Une panne de trop selon le syndicat UTG qui n’a eu de cesse depuis de dénoncer d’autres dysfonctionnements graves au sein de l’établissement. Plusieurs rencontres ont eu lieu avec la direction, mais sans succès. Statut quo. Ce mercredi à partir de 15h les personnels sont appelés à voter sur la tenue de la grève ou non en assemblée générale.
De son côté la direction estime ne pas être fermée au dialogue. Seulement elle exige une plate-forme de revendications précises afin de commencer des négociations sur des points spécifiques.
Le préavis de grève de l'UTG a été déposé le 17 octobre. Les salariés devront décider ce mercredi après-midi de la suite du mouvement. Ils devront voter après avoir entendu les conclusions des différentes réunions tenues en amont avec la direction.
Une AG à 15h
C’est en fin d’après-midi ce mercredi 23 octobre que le syndicat UTG livrera sa décision. Un syndicat en guerre contre la direction du CHOG, depuis une panne des concentrateurs alimentant en oxygène l’établissement. Conséquence : le report d’un certain nombre d’opérations chirurgicales. Une panne de trop selon le syndicat UTG qui n’a eu de cesse depuis de dénoncer d’autres dysfonctionnements graves au sein de l’établissement. Plusieurs rencontres ont eu lieu avec la direction, mais sans succès. Statut quo. Ce mercredi à partir de 15h les personnels sont appelés à voter sur la tenue de la grève ou non en assemblée générale.
Une plate-forme de revendications
De son côté la direction estime ne pas être fermée au dialogue. Seulement elle exige une plate-forme de revendications précises afin de commencer des négociations sur des points spécifiques."Pour l'instant je n'ai pas reçu de plate-forme de revendication. L'UTG me demande d'aller voir les salariés dans chaque service mais je refuse de le faire avec un seul syndicat. Je vais bientôt convoquer un CHSCT extraordinaire avec l'ensemble des partenaires."
Eric Villeneuve directeur du CHOG