Chacun son gilet jaune, c'était l'action voulue par l'association des Iguanes de l'Ouest qui avait appelé au rassemblement pour manifester contre la hausse du prix du carburant en Guyane. De nombreux usagers ont manifesté dans les rues de la ville.
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C'est jour du marché, la circulation est un peu perturbée ce matin à Saint-Laurent. Les usagers sont surpris du ralentissement de cette opération escargot. Les forces de l'ordre tentent de fluidifier le trafic tant bien que mal. Le mot d'ordre du Collectif des Iguanes de l'Ouest pour lutter contre la flambée du prix du carburant est clair, Manuel Jean-Baptiste, présidents des Iguanes précise : C'est une opération escargot, un ralentissement de la circulation sans pour autant bloquer la circulation, il n'en est pas question pour l'instant.
Toutes les grandes artères de circulation de la ville ont été impactées par les ralentissements.
Mais c'est le carrefour des feux tricolores qui créera le plus gros bouchon dans l'avenue Symphorien.
Dans le même instant, les gérants des deux uniques stations de la ville ont préféré laisser leurs rideaux fermés. Là aussi, les automobilistes pour certains sont surpris du mouvement.
Si cette manifestation se veut un cri d'alerte pour les manifestants. Ils comptent aller plus loin dans leurs actions à venir.
Le reportage de Guyane la 1ère
Toutes les grandes artères de circulation de la ville ont été impactées par les ralentissements.
Mais c'est le carrefour des feux tricolores qui créera le plus gros bouchon dans l'avenue Symphorien.
Dans le même instant, les gérants des deux uniques stations de la ville ont préféré laisser leurs rideaux fermés. Là aussi, les automobilistes pour certains sont surpris du mouvement.
Si cette manifestation se veut un cri d'alerte pour les manifestants. Ils comptent aller plus loin dans leurs actions à venir.
Aucune altercation n'a été signalée lors de cette journée. Les gilets jaunes se satisfont de la mobilisation. La manifestation prendra fin en milieu de matinée.Manuel Jean-Baptiste : Nous avons cette impression malheureuse que les pouvoirs publics ne sont pas concernés ne réagissent pas. La Préfecture ne communique pas, la CTG ne communique pas non plus sur cette flambée des prix. Nous allons les interpeller par courrier où nous allons demander une réunion de tous les acteurs qui fixent, qui participent à la composition du prix de l'essence et nous la société civile allons assister à cette réunion pour pouvoir comprendre et savoir ce qu'il y a à faire pour faire baisser ce prix du carburant qui aujourd'hui étouffe la population.
Le reportage de Guyane la 1ère