Dire non à la violence c'est l'objectif d'un groupement citoyen formé la semaine dernière, à Saint-Laurent. Ils ont rencontré les forces de l'ordre et le Sous-Préfet. Une réunion publique d'une trentaine de personnes s'est tenue afin de faire le point et de créer des groupes de réflexion.
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Ce groupement rassemblait des responsables d’associations, des professionnels du secteur social, de la prévention et de la délinquance, mais aussi des parents inquiets.
Les habitants de Saint-Laurent s’alarment de la délinquance. A la réunion du 6 février, il a été rendu compte de la séance de travail menée la veille à la sous-préfecture. Les Iguanes de l’Ouest ont fait des propositions :
Des réunions sont dorénavant prévues chaque trimestre avec les autorités pour travailler sur des thématiques très précises qui relèvent des compétences de l’Etat. Le groupement contre de la délinquance et la violence compte bien mener des actions.
Ferdinand Boisrond, représentant du groupement citoyen contre la violence veut multiplier les moments d'échange :
Le reportage de Guyane la 1ère
Les habitants de Saint-Laurent s’alarment de la délinquance. A la réunion du 6 février, il a été rendu compte de la séance de travail menée la veille à la sous-préfecture. Les Iguanes de l’Ouest ont fait des propositions :
Florence Ajodha de l'association Les iguanes de l'Ouest : ...nous avons fait un état des chiffres, remonter à la préfecture le sentiment d'insécurité persistant. Ils ont pu avoir une deuxième voix qui est celle des personnes issues des quartiers, des associations sportives, culturelles qui se sont organisées de manière spontanée...
Des réunions trimestrielles avec les autorités
Des réunions sont dorénavant prévues chaque trimestre avec les autorités pour travailler sur des thématiques très précises qui relèvent des compétences de l’Etat. Le groupement contre de la délinquance et la violence compte bien mener des actions. Ferdinand Boisrond, représentant du groupement citoyen contre la violence veut multiplier les moments d'échange :
Pour la prochaine étape, ces citoyens mobilisés solliciteront des rencontres avec la CAF, la mairie, ou encore la Collectivité Territoriale de Guyane.... on ira dans les quartiers chauds, discuter avec les jeunes, les parents. On échangera avec eux pour récolter des informations et savoir ce qu'ils aimeraient que l'on mette en place pour qu'ils sortent de tout ça.
Le reportage de Guyane la 1ère