Les feux de savanes se multiplient sur le territoire Guyanais. L’ouest n’est pas épargné. Éteindre ces feux est une tâche rude pour les sapeurs-pompiers pendant la période de sécheresse qui va d’août à novembre surtout quand les bornes à incendie sont vandalisées.
•
En cette saison sèche, les feux de savanes se multiplient sur le territoire Guyanais. L’ouest n’est pas épargné.
La lutte contre les feux de savane est rude pour les sapeurs-pompiers pendant la période qui va d’août à novembre. Et la tâche se complique, quand en plus, les bornes d’incendie servant à alimenter les camions en eau lors des interventions de feu sont inopérantes.
Une situation qui complique les interventions des sapeurs pompiers qui sont confrontés à des difficultés de raccordement. A cela s’ajoute, des incidences pour les usagers. Ces actes de vandalismes provoquent des fuites dans les canalisations qui gênèrent ensuite une baisse des niveaux des réservoirs d’eau et donc un manque de pression aux robinets des abonnés.
La ville est responsable de l’entretien du réseau des bornes à incendie constitué de 150 bornes espacées d’environ 300 m. Les services chargés du réseau déplorent la récurrence de ces actes d'incivilité. Leurs réparations coûtent cher à la collectivité.
La période sèche va du mois d’août au mois de novembre. L’année dernière, les sapeurs pompiers sont intervenus 39 fois sur des feux. Cette année, a mi-saison ils ont déjà été appelés pour 61 départs de feux.
La lutte contre les feux de savane est rude pour les sapeurs-pompiers pendant la période qui va d’août à novembre. Et la tâche se complique, quand en plus, les bornes d’incendie servant à alimenter les camions en eau lors des interventions de feu sont inopérantes.
Des bornes à incendie régulièrement vandalisées
A Saint-Laurent, en début de semaine, en milieu de journée, les pompiers ont été appelés pour un départ de feu aux alentours de l’aérodrome. Le feu a été maîtrisé au bout de 2 heures par trois sapeurs pompiers intervenus avec un véhicule citerne de 3 500 litres d’eau. La quantité d’eau à disposition a suffit ce jour là mais ce n’est pas toujours le cas car les bornes à incendie sont régulièrement vandalisées dans la région. Durant le week end, 3 poteaux d’incendie dont 2 situés dans la zone de malgache et un aux abords du camp de la transportation ont été détériorés.Une situation qui complique les interventions des sapeurs pompiers qui sont confrontés à des difficultés de raccordement. A cela s’ajoute, des incidences pour les usagers. Ces actes de vandalismes provoquent des fuites dans les canalisations qui gênèrent ensuite une baisse des niveaux des réservoirs d’eau et donc un manque de pression aux robinets des abonnés.
La ville est responsable de l’entretien du réseau des bornes à incendie constitué de 150 bornes espacées d’environ 300 m. Les services chargés du réseau déplorent la récurrence de ces actes d'incivilité. Leurs réparations coûtent cher à la collectivité.
La période sèche va du mois d’août au mois de novembre. L’année dernière, les sapeurs pompiers sont intervenus 39 fois sur des feux. Cette année, a mi-saison ils ont déjà été appelés pour 61 départs de feux.
A l'ouest les pompiers lancent un cri d'alarme. Les bornes incendie ont été vandalisées durant le week-end cela est préjudiciable à leurs activités